Journées Européennes des métiers d’art, participation Chrismali, les 31 mars,1 et 2 avril 2017
Cette 11ème édition des journées européennes des métiers d’art » JEMA » sera sur le thème polymorphe et fédérateur du « SAVOIR(-)FAIRE DU LIEN ».
Chrismali vous ouvre les portes de son atelier parisien et vous présente ses bijoux et son travail autour du lien, des bijoux mémoires et bijoux de partage.
Journées Européennes des Métiers d’Art, 11 ème édition
Les artisans d’art vous ouvrent les portes de leur atelier
Lancées en France en 2002, les Journées des métiers d’art, tout d’abord biennales, sont devenues annuelles en 2011 puis européennes en 2012.
Avec 19 pays participant et 1,2 million de visiteurs en 2016, cette manifestation est devenue le premier événement international consacré aux métiers d’art.
Les 31, 1er et 2 avril 2017, 3 jours uniques pour découvrir des métiers d’exception.
IMMERGEZ-VOUS DANS LE MONDE DES METIERS D’ART
Des univers, des gestes, des matières, des outils, des passions, des talents.
Rencontres avec des professionnels des métiers d’art, hors les murs et en atelier
Découverte d’objets d’exception
Démonstrations de savoir-faire dans les ateliers
Expositions et salons
Portes ouvertes de centres de formation
Ateliers d’initiation et workshops
Circuits thématiques…
En 2016, ce furent près de 8 500 événements partout en France . Voir le site des JEMA
Participation Chrismali
Cette année, je participe pour la première fois à cette manifestation et vous reçoit dans mon atelier.
Cela fait 6 ans que j’ai choisi dans le cadre d’une reconversion de devenir créatrice de bijoux fantaisie, de travailler autrement en faisant appel à mon savoir faire et à ma créativité.
J’ai complété mon parcours autodidacte en bijouterie fantaisie par une formation CAP en bijouterie en 1 an auprès de l’école Boulle -section Nicolas Flammel. J’ai ensuite décidé de poursuivre la voie que j’avais déjà expérimentée par le passé – la bijouterie fantaisie.
J’ai cherché un axe qui me permette de travailler avec du sens dans le monde de la consommation du bijoux fantaisie et j’ai défini quelques principes qui me guident dans mes créations;
– Donner un peu de soi
– Faire avec ce que l’on a
– Porter qui on est
Je travaille autour de 2 gammes et orientations pour mes bijoux; les bijoux dormants ou bijoux réinventés et les chrismaliens, des bijoux liens, bijoux de partage et de complicité.
Je cherche également à réaliser des bijoux « cadeaux pour tous, souvenir d’un instant de joie partagé.
Les bijoux dormants
Les bijoux dormants – ce sont des bijoux réinventés, le plus souvent pour vous, et dont une partie est réalisée à partir de pièces chinées et constitue la gamme que vous trouvez dans les boutiques auxquelles je participe.
Je vous propose à partir de votre stock de bijoux dormants, utilisant des techniques très diverses, de composer pour vous en fonction de vos souhaits, des bijoux composites actuels pour les porter ou les offrir avec une histoire, celle du bijou, d’une époque ou d’un instant.
J’utilise les
pièces esseulées, oubliées, cassées et conservées,
les objets de mémoire et vestige d’une époque,
la verroterie ancienne, broches, fibules, chapelets, breloques variées,
les amulettes, gris-gris, talismans, tissus préférés, foulards,
des métaux et matériaux divers…
Ce sont des bijoux uniques réalisée sur mesure, parfois certains bijoux auront simplement été réparés – d’autres complètement réinventés, éclatés, transformés… Sans être transformés, vos bijoux de valeur peuvent également être intégrés dans une composition afin de les transmettre un jour, si vous le souhaitez, aux personnes qui vous sont chères.
Les chrismaliens
Bijoux de partage, symboles de complicité, les chrismaliens, bijoux de fil rappelant la fragilité de la vie et axant son message sur l’expression des liens.
Porté seul, c’est un bijou minimaliste, un lien fin composé d’un élément de chaîne en argent et de fils de couture – dont l’un est un fil technique haute résistance, inextensible et souvent plus solide que la fine chaîne en argent.
Il peut être bracelet ou collier.
Ils sont pour tous hommes, femmes, et enfants. Ils se déclinent également en bague argent avec noeud soudé à chaud.
Porté en nombre, ils deviennent des colliers parures multicolores au gré de vos envies, les possibilités des fils de couleurs sont infinies.
Les colliers multiliens, peuvent se transformés en cadeau pour tous.
Le collier de la mariée en est le parfait exemple; à un moment de la cérémonie, la mariée ôte son collier, le coupe et offre à chacun un lien, souvenir de ce moment partagé.
Les cadeaux pour tous
J’aime travailler sur cette idée du bijou de fête, du bijou qui dit merci, du bijou qu’on partage, du cadeau pour tous.
Voici quelques idées déjà réalisées.
Le collier de la mariée est collier de partage.
La bobine de liens; les liens sont découpés et offerts
Les broches – badges à message et à thème à distribuer à chacun lors d’une fête
Un collier peut devenir plusieurs bijoux pour différentes personnes. Ici un chapelet devient un collier et 2 paires de boucles d’oreille…3 cadeaux
Tube: Piccadilly Circus/Green Park Train: Victoria Piccadilly Circus: walk down Piccadilly towards Green Park. The Royal Academy is opposite Fortnum & Masons.
L’exposition couvre 50 années de la carrière de l’artiste Cy Twombly, artiste de renommé internationale récompensé par le Lion d’or lors de la Biennale de Venise en 2001.
Il est considéré comme l’un des plus importants peintres de la seconde moitié du 20e siècle, trouvant ses influences dans l’héritage de l’expressionisme abstrait américain et la culture méditerranéenne.
Né en 1928 en Virginie aux Etats-Unis, il a été l’élève du Black Mountain College, une école d’art orienté vers l’expérimentation et la mixité des arts, il y a rencontré Franz Kline, Robert Motherwell, le poète Charles Olson, John Cage et Merce Cunningham. Il est décédé en 2011.
Son oeuvre non figurative suit ses propres recherches et est orientée sur l’abstraction avec un travail d’écriture, graffiti, vide, palette de couleur réduite, collage tout ne privilégiant des travaux sur sur papier.
Parcours
L’exposition présente cent quarante peintures, sculptures, dessins et photographies répartis autour 3 trois grands cycles : Nine Discourses on Commodus (1963), Fifty Days at Iliam (1978) et Coronation of Sesostris (2000).
L’exposition débute par des monotypes et des dessins au crayon noir qui rappelle l’intérêt de Twombly pour cultures les plus anciennes. « Vers la fin des années 50, des graffitis et des griffures apparaissent sur la feuille de papier, se juxtaposant à des lettres, des mots et des chiffres. Les dessins des années 60 comportent un éclatement de la matière, qui se manifeste par l’usage intensif des crayons de couleur ainsi que du pastel et par une surface saturée de graffitis et de chiffres. Au cours des années 70, il accorde une place privilégiée à la technique du collage, où se succèdent des séries qui déclinent, jusqu’à épuisement, un même motif. Un ensemble de collages est consacré aux artistes et écrivains qu’il admire, dont Malevitch et Tatline. Il produit ensuite des collages et des dessins de très grands formats, dédiés à la mythologie greco-latine, dont se nourrit son oeuvre depuis la fin des années 50. On y retrouve, parmi d’autres divinités: Pan, Vénus, Apollon, Mars ou Orphée. Les oeuvres sur papier des années 80 se distinguent par un retour violent à la couleur. Le recours à la peinture au même titre que le crayon ou le pastel, s’intensifie au début des années 90 et connaît son apogée dans une série de dessins datés de 2001. Ces oeuvres, par lesquelles l’artiste brise le traditionnel cloisonnement entre peinture et dessin, constituent un sommet inédit de l’art de Twombly. » extrait du Centre Pompidou
L’homme lettré
« Cy Twombly est un peintre lettré mais cette image ne rend que partiellement compte de sa personnalité complexe. L’aspect sophistiqué de son travail s’accompagne aussi d’une attention constante aux réalités vernaculaires, plus ou moins visibles, mais bien présentes. Doté d’un sens de l’humour et de la répartie peu commun, Cy Twombly, lorsqu’il le voulait, avait l’esprit délicieusement mal tourné. Ainsi, devant l’œuvre intitulée Apollo (1963), il dit laconiquement à Paul Winkler, ancien directeur de la Menil Collection à Houston : « Rachel et moi, on adorait aller danser au théâtre de l’Apollo à Harlem. » Dans toute une suite de dessins de 1981-1982, il inscrit l’expression « Private Ejaculations » tout en sachant qu’au 17e siècle ce terme désignait des prières courtes prononcées avec ferveur à intervalles fixes.
On sait aussi aujourd’hui que la photographie a joué un rôle important dans son art et dans sa vie. Homme discret voire secret, Twombly s’est pourtant régulièrement fait photographier. L’un des plus célèbres reportages est celui que Horst P. Horst réalise pour la revue Vogue. L’article intitulé « Roman Classic Surprise », écrit par Valentine Lawford, est publié dans le numéro de novembre 1966 et compte plusieurs photographies prises dans l’appartement romain du peintre, via Monserrato. On y voit un dandy vivant dans un intérieur palatial. Cette apparition dans Vogue ne réchauffe guère ses relations avec les États-Unis qui sont au plus bas après l’exposition très controversée du cycle Nine Discourses on Commodus chez Leo Castelli, à New York. On le dit trop chic, trop sophistiqué, en un mot, trop éloigné de l’idée que l’Amérique se fait d’un artiste américain. »
J’ai aimé cette immersion et parcours dans l’univers Twombly; grands formats, écritures, collage, palettes de couleur, résonance des oeuvres entre elles, également son trait rapide, vif, instinctif, ses pattes de mouches et ses taches et peintures épaisses comme jetées sur la toile.. J’y ai également ressenti une influence du pop art. On sent dans son travail sa ligne directrice et ses recherches qui le poussent aux variations.
J’ai découvert Chiharu Shiota lors de son exposition « Where are we going » au Bon Marché Paris. J’ai aimé son installation et sa vidéo interview, cela m’a donné envie d’en savoir plus sur cette artiste et ces nombreux travaux.
Artiste du fil, elle travaille des œuvres monumentales en fil qu’elle tisse, colle. Le fil est volume, il est aérien, tout en faisant masse; il s’envole tout en étant arrimé, il devient bateau, marche, voile, trou, caverne, mur, maison…
Le fil n’est pas son seul média, elle travaille sur le principe de l’accumulation.
Les objets qu’elle utilise sont principalement de vieilles valises, des lettres, de vieux pianos, des robes fantomatiques. L& particularité de son travail réside dans l’emploi récurrent de fils tissés, de câbles, de tiges métalliques, qui transforment l’espace en une gigantesque toile d’araignée.
Elle travaille par projet et les titres de ceux-ci sont des questionnements sur notre vie et un regard sur nos sociétés. J’aime le sens que l’on peut prêter ces oeuvres.
Bien sûr , ces oeuvres sont esthétiques, ludiques , voir participatives puisque l’on peut déambuler souvent au cœur de celles-ci .
Pour chaque projet, un livre est édité. Il permet de véhiculer son art en dehors de la sphère pour lequel il a été installé.
Biographie
Artiste japonaise née en 1972 à Osaka au Japon, elle vit et travaille à Berlin depuis 1996.
Elle a été l’élève de Marina Abramović et de Rebecca Horn et s’est fait connaître il y a une dizaine d’années en envahissant les lieux les plus divers de réseaux avec des fils entrecroisés en tous sens, du sol au plafond. En 2015, elle a ainsi pris possession du pavillon du Japon à la 64 ème Biennale de Venise, y a tendu ses folles géométries de fil rouge et suspendu 50 000 clés rouillées au-dessus de vieilles barques.
Expositions
2017
Where are we going?, Le Bon Marché Rive Gauche, Paris
2015
The key in the hand, Japanese Pavilion, Biennale de Venise, Italie
In the beginning was…, Fundació Sorigué, Lleida, Catalogne, Espagne
2014 :
Cartas de agradecimientos, Spai d´Art Contemporani de Castelló
La Saint-Valentin, fête internationale célèbre l’amour.
Le jour de la Saint-Valentin, le 14 février, est considéré dans de nombreux pays comme la fête des amoureux et de l’amitié. Les couples en profitent pour échanger des mots doux et des cadeaux comme preuves d’amour ainsi que des roses rouges qui sont l’emblème de la passion.
Histoire de la Saint -Valentin
La Saint-Valentin est apparue pendant la période médiévale. C »est en Europe occidentale que la fête de l’amour fit son apparition. Oubliée pendant des siècles, elle est réapparue au 19èm siècle. Avec le temps, la Saint-Valentin a été adoptée dans nombreux pays.
Dans l’antiquité, point de Valentin mais il existait les Fêtes de la fertilité au mois de février
L’association du milieu du mois de février avec l’amour et la fécondité date de l’Antiquité. Dans le calendrier de l’Athènes antique, la période de mi-janvier à mi-février était le mois de Gamélion, consacré au mariage sacré de Zeus et de éra. Dans la Rome antique, le 15 février étaient fêtées les Lupercales ou festival de Lupercus, le dieu de la fécondité. Lors de ces fêtes, les femmes participaient pour recevoir don de fertilité conformément à l’oracle de Junon, protectrice du mariage et de la maternité. Au moins trois saints différents sont nommés Valentin, tous trois martyrs. Leur fête a été fixée le 14 février par décret du pape Gelase Ier, aux alentours de 498. Le rapprochement entre la Saint-Valentin et l’amour courtois n’est mentionné dans aucune histoire ancienne et est considéré par des historiens comme une légende. Il existe une autre légende selon laquelle la fête de la Saint-Valentin a été créée pour contrecarrer la pratique des Lupercales par les jeunes amoureux qui dessinaient leurs noms sur une urne, mais cette pratique n’est citée dans aucune source écrite de l’époque. Il ne faut cependant pas oublier que la plupart des fêtes chrétiennes se sont substituées à des fêtes païennes. Le jour de la Saint-Valentin a longtemps été célébré comme étant la fête des célibataires et non des couples. Le jour de la fête, les jeunes filles célibataires se dispersaient aux alentours de leur village et se cachaient en attendant que les jeunes garçons célibataires les trouvent (définition des Lupercales). À l’issue de ce cache-cache géant, les couples formés étaient amenés à se marier dans l’année. Ceci permettait de développer la démographie et stimuler l’expansion des villages.
A l’époque médiévale, apparition de la Saint Valentin. On trouve la première mention du jour de la Saint-Valentin avec une connotation amoureuse., elle remonte au xivem siècle en Angleterre, où l’on croyait que le 14 février était le jour où les oiseaux s’appariaient (lire entre autres « La Dame à la licorne »). Au xivem siècle. Il était courant durant cette période que les amoureux échangent des billets et s’appellent chacun leur Valentin.
Ce fut Othon de Grandson, lors de la deuxième moitié du xivem siècle, poète et capitaine à la cour d’Angleterre, qui fit connaître cette coutume dans le monde latin, notamment à la cour de Savoie : trente pour cent de sa poésie est dédiée à cette tradition. Au début du xvèm siècle, Charles d’Orléans fit connaître son oeuvre à la cour de France. Il écrivit lui-même plusieurs poèmes dédiés à la Saint-Valentin. Par la suite, cette tradition se perdit dans le monde latin et ne fut réactualisée qu’au xixèm siècle. Au XIX èm , la fête est associée plus étroitement à l’échange mutuel de « billets doux » ou de valentins illustrés de symboles tels qu’un cœur ou un Cupidon ailé. L’échange de cartes de vœux succède « billets doux ».
La Saint Valentin dans le monde
Même si l’Europe est le berceau de la Saint-Valentin, on ne fête pas l’amour de la même façon dans tous les pays. Bien sûr, les traditions que l’on connaît (fleurs, chocolats et billets doux) y sont assez bien implantées, mais elles s’accompagnent parfois de coutumes plus régionales.
En Écosse
Si vous vous promenez dans la rue le jour de la Saint-Valentin, la première personne du sexe opposé qui croisera votre chemin deviendra votre Valentin! Bien sûr, rien ne vous force à conclure, cette tradition est purement symbolique.
En Autriche
Les amoureux qui le veulent bien défilent dans les rues.
En Allemagne
On célèbre parfois l’aspect religieux de cette fête, qui est désormais bien négligé.
Dans les pays scandinaves
Les hommes écriront un message à la femme qui leur plaît. Plutôt que de signer leur nom, ils dessineront des petits points, correspondant au nombre de lettres que leur nom contient. Et si la valentine devine de qui il s’agit, elle recevra… un oeuf de Pâques!
Dans les pays asiatiques
Au Japon, la Saint-Valentin est récente et a été introduite au XXèm siècle, ce sont les femmes qui doivent offrir des chocolats, pas seulement à leur amoureux, mais bien à tous les hommes qui les entourent, particulièrement leurs collègues (on connaît la place importante qu’occupe le travail dans la vie des Japonais.) Les hommes, toutefois, ne s’en tirent pas si facilement. Deux mois plus tard, ils doivent offrir un cadeau de couleur blanche à chacune des femmes qui leur a offert des chocolats. Et ce cadeau doit être d’une valeur équivalente à trois fois celle des chocolats reçus! Voir ci-après le passage sur les billets doux chocolats. La Saint-Valentin est désormais entrée dans les mœurs et inspire de nombreux mangas. Ce concept, lancé au Japon s’est étendu à la Corée du Sud, Taïwan et Hong Kong. En guise de présent, les femmes reçoivent du chocolat blanc, des bijoux ou de la lingerie (de couleur blanche). La valeur de ces cadeaux peut être trois fois supérieure à celle des chocolatsde ces dames. Pour les jeunes, aussi impliqués dans ce « Jour blanc », ils offrent des bonbons en réponse. S’ils n’en offrent pas à celle qui leur a donné des chocolats, ils n’acceptent pas la proposition de s’engager mais si, à l’inverse, ils s’acceptent, ils en donnent. En Corée existe aussi une fête des célibataires, célébrée le 14 avril. On l’appelle le Jour Noir, car les célibataires se rassemblent pour manger des nouilles noires!
En Amérique du Nord
Les échanges de cartes ne se font pas selon la conception européenne où la carte de Saint-Valentin est envoyée à une personne « unique ». Il n’est pas rare qu’une personne y envoie une dizaine de cartes, et même que des élèves d’école primaire en envoient à leur maîtresse d’école.
En Amérique latine
La fête de l’amour n’y est pas toujours célébrée le 14 février, mais bien souvent en été ou au début de l’automne.
Au Brésil
On la célèbre la veille de la Saint-Antoine, soit le 12 juin. Ce saint, protecteur des amoureux, aiderait les femmes célibataires à trouver un époux.
En Colombie
La fête a lieu pendant le troisième week-end du mois de septembre et elle célèbre non seulement l’amour, mais également l’amitié.
Une sécificité japonaise, les billets doux en chocolat.
Au Japon, la Saint-Valentin a été introduite par des fabricants de chocolat dans le courant du xxe siècle. C’est donc à grand coup de messages publicitaires qu’on enseigne aux Japonais les rudiments de ce qui va devenir une fête commerciale où les femmes offriront des chocolats aux hommes, le 14 février de chaque année. Les japonais sont très friands de chocolats, principalement les petits chocolats présentés dans de très petites boites. Jacques Genin, maitre chocolatier, fondeur en chocolat est une star au Japon, Si vous passez près de sa boutique , ne soyez pas surpris d’y voir un car de japonais… Les chocolats sont devenus des messagers et remplacent les billets doux.
Il y a les chocolats d’amour…
Les chocolats que les Japonaises offrent à l’être aimé sont appelés honmei choco (本命チョコ?), c’est-à-dire « chocolats du favori » ou encore « chocolats de la destinée ». L’usage veut que la jeune femme se présente à son futur avec un air suffisamment gêné pour que celui-ci comprenne son intention. Ils peuvent toutefois être accompagnés d’un petit mot pour moins de confusion. Ces chocolats peuvent être faits main. Ils ont alors une plus grande valeur sentimentale. Implicitement, c’est aussi un moyen de prouver son potentiel de maîtresse de maison. L’emballage doit être soigné également.
Les chocolats de courtoisie
Les chocolats offerts à leurs collègues de travail masculins, leur patron, ou encore leur famille, sont communément appelés giri choco (義理チョコ?), les « chocolats de courtoisie » ou plus péjorativement « chocolats d’obligation ». On peut déterminer la popularité d’un individu au nombre de chocolats qu’il reçoit. Les moins populaires, eux, recevront des chocolats bon marché : des cho-giri choco(超義理チョコ?). D’autres s’offriront leurs propres chocolats, appelés jibun choco (自分チョコ?), les « chocolats pour soi ».
Les chocolats d’affection et de gratitude
Parmi les sewa choco (世話チョコ ?), les chocolats qui expriment un sentiment affectif, il existe les papa choco (パパチョコ?) que les jeunes filles offrent à leur père et les tomo choco (友チョコ?), les « chocolats de l’amitié » que les collégiennes et lycéennes offrent à leurs amies. Depuis 2008, certains hommes (チョコメン?, litt. homme choco) offrent des chocolats aux femmes, les gyaku choco逆チョコ?, litt. Chocolat de retour) le 14 février et ce, même si le jour blanc existe. Pour en savoir plus sur les chocolats au Japon http://www.tofugu.com/2012/12/14/the-japanese-chocolate-bureaucracy/ Au Japon, différents type d’amour et d’affection sont célébrés le 14 février.
Le mot amour, les liens d’amour
Savez vous qu’ en grec ancien, 4 mots définissent l’amour.
Philia (φιλία / philía) : l’amitié, l’amour bienveillant, le plaisir de la compagnie.
Petit Larousse -éditions de 1968
Cette définition est beaucoup plus large d’esprit que celle de mon ancien Petit Larousse qui parait un peu étriquée et désuette.
Je vous la laisse découvrir coincée entre amouillante et amouracher. (photo du texte jointe)
« Affection vive pour quelqu’un ou pour quelque chose: l’amour de Dieu, du prochain, de la patrie, de la liberté.
Penchant dicté par les lois de la nature, l’amour maternel, filial. Sentiment passionné par une personne de l’autre sexe: inspirer de l’amour.
Passion, gout vif pour quelque chose: passion des arts.
Personne aimée: courage mon amour!
Wikipedia
De même, voilà la définition de l’Amour de Wikipédia. « L’amour désigne un sentiment d’affection et d’attachement envers un être, un animal ou une chose qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité physique, spirituelle ou même imaginaire avec l’objet de cet amour et à adopter un comportement particulier. »
Définition personnelle
Cet article m’a décidé à oser la mienne, courte définition dont je vous fait part:
L’amour est sentiments, il est pluriel, évolutif, adaptable aux âges de la vie, des êtres et des circonstances. Il peut être bonheur, malheur, vide ou plein…
A vous de tenter la vôtre et de célébrer ou non la Saint Valentin le 14 février .
Exprimez vos liens, La Saint-Valentin vous le suggère; mots doux, billets doux, fleurs, chocolats, cadeau plus personnel… Osez le plus souvent, le bonheur est contagieux et l’amour y contribue………..
Chrismali vous a préparé un duo de liens, bracelet ou collier fait de fil et d’argent qui se noue, cadeau pour 2. Pour les trouver – boutique etsy
Sources.
Nouveau Petit Larousse en couleurs – éditions de 1968
Kiefer – exposition Whalhalla à la White Cube de Londres -Bermondsay
La White Cube – Bermondsay de Londres est une galerie privée très grande et dont l’espace se façonne au gré des expositions et artistes. Elle accueille aujourd’hui Kiefer et son exposition Whalhalla.
C’est à la White Cube que j’ai eu , il y a maintenant 4 ans, le choc Kiefer.
Des oeuvres impressionnantes, qui ont du sens, qui vous interpellent; un travail de la matière, lumière et mémoire incluant sculptures, installations, peintures dans un cadre de déambulation.
La galerie est à la dimension des œuvres exposées!
L’artiste présente ces récents travaux .
L’exposition se nomme «Walhalla» en référence à la légendaire vie après la mort des héros tués dans la bataille. Tout le travail de Kiefer est marque par la guerre, la mort, la destruction, l’inexorable…
Je vous livre ci-après des extraits de l’article de Time out.
» …La marque de Kiefer est partout: recouvrir les murs, former des rouleaux sur lesquels les photographies sont imprimées, éclaboussées par d’énormes gouttes éruptives sur des toiles géantes de paysages ruinés. Le spectacle est appelé «Walhalla», la légendaire vie après la mort des héros tués dans la bataille. …
Tout d’abord, un couloir faiblement éclairé de lits d’hôpital. C’est horrible: gris et mort. Il parle de l’Holocauste. Des hôpitaux de campagne et du désespoir. D’abandon et de fuite. Une mitrailleuse sort du lit comme une jambe squelettique. Dans une autre pièce, un lit est écrasé sous un énorme bloc de plomb, tandis que les ailes de plomb tombent de chaque côté. Un autre lit a les tiges de tournesols de plomb piquant hors de lui. Une feuille de plomb se renfonce avec de l’eau. Les noms lyriques de la mythologie: Siegfried, Brünhilde, Lorelei. Ces chambres claustrophobes et empoisonnées sont la réalité du Walhalla. Un escalier en colimaçon de 30 pieds de haut est festonné de robes trempées dans de la cire et de la peinture: les peaux des Valkyries modernes: des femmes qui remercient de se mêler dans une guerre «héroïque» de partager le destin des combattants…
Une installation «archive» fait allusion à des projets interminables et non réalisés: des photos, des papiers carbonisés, des graines non salissantes provenant d’un coffre-fort. Une presse d’impression se corrode. Les étagères s’effondrent sous les boîtes: c’est un génocide d’idées. …Dans les galeries Sud aérées, … ce sont de vastes peintures de tours branlantes, de plomb fondu… Dans le même espace sont vitrines de bicyclettes brisées, des lits d’hôpital plus empilés, l’enclume de Thor. »
Le musée Picasso, magnifique écrin, accueille Giacometti.
L’exposition Picasso Giacometti propose un dialogue entre certaines oeuvres de ces 2 artistes et présentent plus de 200 oeuvres.
Elle nous montre leur passion des arts non occidentaux que ce soit l’Afrique pour Picasso et les Cyclades pour Giacometti ainsi que leur recherche pour aller vers l’abstraction, leur travail de représentation de l’amour et de la mort à des époques touchées par la guerre.
Tous 2 sont fils de peintres et ont été amis dans la vie pour un temps.
Picasso né en Espagne en 1881 est 20 ans plus âgé que Giacometti. L ‘exposition démontre la grande diversité de travail de Picasso, son génie créatif. Artiste protéiforme, il s’est essayé à tout, s’est inspiré de tout. Il aimait particulièrement représenter les formes rondes et charnues.
Giacometti, lui est né en Suisse en 1901.Peintre et sculpteur, il retravaillera les même thèmes avec des formes creuses et malingres. Il a été fidèle toute sa vie à son coup de crayon nerveux sur ces portraits et on retrouve cette nervosité dans ses sculptures reconnaissables volontairement allongées, brutes et aux grands pieds.
Le vernissage du salon Art et Liberté de Charenton (94 limitrophe Bois de Vincennes )a eu lieu le 19 janvier. Il y avait foule pour cette 64 ième édition, des Charentonnais bien sûr , des amateurs d’art, nombreux artistes ( près de 200 artistes ont été choisis) et amis des artistes, les passants du centre commercial. En effet l’espace Art et Liberté est situé dans la galerie marchande » la Coupole ».
Comme dit Mosko, l’invité d’honneur, ce choix stratégique apporte l’art aux gens dans leur quotidien, les murs sont dans l’espace marchand.
C’est ma première participation à ce salon, j’y expose 3 petits mondes et ils ont été admirablement mises en scène.
Je vous fait part de mes coups de cœurs et découvertes,
Tableau textile-Maillet Crozet
Bronze impressionnants Yermia Ybah,
Grandes oeuvres peintes Crespin, Thirion, Bartoloni
Des oeuvres drôles Capri, Dandois
Des ambiances feutrées Moisson, Narino, Bretillon
Des oeuvres poétiques Feli Machi – ils vont bien avec “mes petits mondes”
J’ai aimé nombre de sculpteurs, les peintres techniques mixtes et ceux travaillant les ambiances feutrées. Je vous laisse découvrir.
Espace Art et Liberté
3, place des Marseillais
(Centre commerciale La Coupole)
94220 Charenton le Pont
Métro Liberté Ligne 8 (à 50 m du métro) Entrée libre du mardi au samedi de 13h à 18h
Pour en découvrir plus sur certains artistes, voici leurs sites.
Parisiens, qui ne connaît pas Mosko? Il essaime depuis des années sur les murs de Paris ses animaux de la savane, parfois seul, parfois avec ses amis et il nous emporte vers d’autres contrées. Aujourd’hui il enchaîne les projets. Il voyage et continue ses grandes fresques un brin sauvage sur des murs les béton.
Je l’ai rencontrée à l’occasion de sa participation au salon Art et Liberté de Charenton le Pont.
Comme il aime le dire, la proposition de participer à une exposition collective d’art contemporain tout horizon, lui a plu par son côté éclectique, mais surtout par son lieu, un espace vaste et lumineux situé dans une galerie marchande. L’art est ainsi à la portée de tous, là ou sont les gens. Il fait un art urbain populaire et cette proximité l’a séduite.
Mosko parcours
Mosko fait du pochoir depuis 1989, il se définit comme un peintre urbain. Sa marque de fabrique, ce sont ses animaux de la savane. Mosko a d’abord travaillé seul au pochoir sur les mur de Paris dans le quartier de la Moskowa, au nord du 18e arrondissement. L’année suivante l’aventure devient collective sous l’appellation Mosko et associés. C’est en 2015 que Mosko reprend sa signature et un travail en solo, il enchaîne les participations à projet, résidence, expositions collectives et personnelles en France et à l’étranger Inde, Chine , Liban – pour en savoir plus – son blog. Sa technique a évolué et aujourd’hui il combine acrylique et pochoir.
2017 est une grande année Mosko, les projets s’enchaînent
Le salon Art et Liberté qui démarre le 19/01/2017 jusqu’au 11 février. Pour ce 64èm salon, il est l’invité d’honneur! Et si vous cherchez bien, dans l’expo, vous pourrez répérer 3 petits mondes sous cloches!
L’expo du Lab 14 jusqu’au 26/02/2017 à Montparnasse – voir article du blog sortir àParis.Vous y retrouverez une trentaine d’artistes du mouvement d’art urbain.
Une fresque immense dans un site industriel avec équipe et assistant pour la réalisation.
Projet de personnalisation de 2 cabines Photomatons avec la Galerie Galry 75007
Façade du théatre l’Européen avec Jef Aerosol et Jerome Mesnager 75018
Grand mur à la Courneuve avec Anis
Expo perso au Lavo matik 75013
Interventions au Mausa
…
Mosko l’homme
Mosko,c’est Gérard Laux, un ancien ouvrier du livre, un homme généreux qui aime les rencontres, les participations aux projets collectifs. Il n’a pas hésité à m’inviter dans son atelier, des oeuvres d’amis ornent ses murs dedans et dehors. Merci Gérard pour le café!
Il travaille à Montreuil. Ses amis artistes de longues dates sont les biens connus Jérome Mesnager, Jef Aérosol, Nemo mais aussi à présent des plus jeunes tels Anis, Evazesir, JBC, Nosbé, Snil, Snez et beaucoup d’autres.
Le travail qui lui plait le plus est celui à venir et pour 2017 , l’agenda est bien rempli….
3 monographies ont été réalisées
Monographies
2010 : A côté de la plaque, collection Opus Délits, Critères
2009 : Savanes urbaines, éditions Alternatives
2004 : Peignez la girafe, collection Urbanité, Critères
Pour en voir plus sur la période Mosko et associés – blog somanyparis
Pour le rencontrer, venez au vernissage du 19 janvier -19h à l’Espace Art et Liberté – Centre commercial – 3 place des Marseillais 94 Charenton le Pont