Philippe Halsman commence sa carrière dans les années 30 et pendant 50 ans, il n’a de cesse d’innover et de tester des chemins photographiques propres audacieux et plein d’humour.Cela lui a réussi.
P-Halsman-A-Perkins
Cette exposition nous montre toutes les facettes de son art.
Il a été tour à tour photographe des stars et personnalités d’Audrey Hepburn à Winston Churchill en passant par Sidney Bechett, Muhammad Ali.
Il a collaboré avec Marylin Monroe pendant plus de 10 ans.
Surtout, il a été le complice pendant presque 40 ans de Salvador Dali, photographe attitré et artiste mettant en scène ses tableaux et inventions…
Il a également collaboré à des créations photographiques avec Cocteau.
Il a créé le picture book avec Fernandel – sur le principe d’un livre avec une question sur une page et sa réponse en photo en page face à face.
Il a joué sur ce principe avec la moustache de Salvador Dali.
Il a inventé un nouveau genre photographique » la jumpology » et a su convaincre des stars et personnalités de s’y adonner; il s’agit de portraits en pied et dans l’air de personnes qui sautent, Le fait de sauter désinhibe et fait retrouver une attitude propre sans masque; André Malraux, le duc et la duchesse de Windsor, Richard Nixon, Anthony Perkins, Dean Martin et Jerry Lewis… ont joué le jeu.
Ses œuvres, photos, livres sont empreintes de drôleries. L’exposition présente les nombreux tirages qui ont du être faits pour réussir par exemple les photos scénographies des chaises et chats volants avec Dali, la série des oiseaux avec Hitchkook et celles sur la jumpology.
Halsman au travers ses recherches et créations, s’est s’adapté à son époque; à l’emprise grandissante de la télévision et au changement de la place de la photographie dans les médias et la société.
C’est une très belle exposition, riche et amusante qui de surcroit dévoile des facettes inconnues de stars, artistes et personnalités!
Je vais vous avouer que c’est mon 2 ièm choc artistique. Le 1er avait eu lieu, il y a 20 ans.
Le second a eu lieu, il y a maintenant 5 ans à Londres -à la White Cube à l’occasion de son exposition « Il Mistero delle Cattedrali ».
Je connaissais déjà Kiefer pour l’avoir vu à la galerie Yvan Lambert ou j’avais pu percevoir son travail torturé et expérimental avec ses journaux brûlés , des livres et ses messages .
Mon choc de la White Cube, je vous le souhaite. Les œuvres de Kiefer sont impressionnantes. Il expose à compter du 16 décembre, à Beaubourg , les expos y sont toujours d’une grande qualité et l’espace est certainement suffisant pour accueillir le gigantesque et grandiose de Kiefer.
Je ne vous en dis pas plus pour que vous ayez la surprise!
Il y a des thèmes récurrents chez Kiefer – les morts nés, les livres, la nature qui reprend ses droits, les usines abandonnées, la balance , les traces de la guerres, des objets mythique le vélo à 3 pédaliers, la balance, les tournesols, les avions, des outils agraires, du sable, de la terre, des cheveux, les robes de mariées, les des bandes magnétiques…
Kiefer est un artiste primé de nombreuses fois, il est présent dans toutes les grandes collections. Il est né en Allemagne en 1945, il vit et travaille et France depuis 1993. Peut être le rencontrai-je un jour. !!!
Il a été le 1er artiste à exposer dans la Nef du Grand Palais à l’occasion de Monumenta avec une oeuvre spécialement conçue pour le lieu.
Je vous parle de Kiefer à Beaubourg, et je tarde à vous présenter l’exposition de la BNF.
C’est une belle expo qui donne un aperçu du travail de Kiefer et un axe de son travail peu connu, ses livres et sa bibliothèque. C’est toujours un plaisir de voir et revoir des oeuvres de Kiefer.
Les oeuvres présentées sont fortes, bien choisies et parfaitement mises en situation compte tenu de de ma petite taille du lieu.
Et pour voir aujourd’hui du » gigantisme » Kiefer…. Allez à la galerie Thadaeus Ropac de Pantin, cela vaut le détour. Il participe à l’exposition « Space Ages » aux cotés d’artistes connus comme Robert Rauschenberg, Dan Flavin et d’autres moins connus comme Jules de Balincourt ( que j’aime beaucoup également dans un registre plus léger utopique et coloré) voir article sur expo précedente
La galerie Ropac expose nombre de figures reconnues de l’art contemporain, c’est une des galeries à rivaliser en qualité et taille avec les grandes Londoniennes.
Un aperçu en photos de l’exposition « l’alchimie du livre »
Le Musée des Arts décoratifs présente du 19 septembre 2015 au 3 janvier 2016, l’exposition Korea Now !
C’est une très belle et très riche exposition qui vous fait voyager et apprécier la vitalité et le modernisme des créateurs coréens. Vous pourrez découvrir le patrimoine artistique de la Corée encore peu connu en Europe.
Cet événement réunit plus de 700 pièces de 150 artistes, artisans, designers, créateurs de mode et graphistes et qui couvre les domaines de la mode homme et femme, du graphisme et de la publicité, des objets, des mobiliers, parures de tête et bijoux.
Cette exposition m’a ravie de même que ceux que j’ai rencontrés et qui ont eu la chance d’y aller.
J’ai beaucoup aimé l’accent mis sur les couleurs et le vocabulaire que ce soit dans la mode ou le graphisme. Mode et graphisme sont langages et traduisent une philosophie de vie différente de celle des européens.
La mode et les couleurs
En Corée, le choix des couleurs a de nombreuses significations.
Les cinq éléments dérivés du yin et du yang sont associés aux couleurs des cinq directions.Le bleu pour l’est représente l’arbre et l’intégrité;le jaune pour le centre, la terre et la richesse; Le noir pour le nord l’eau et la sagesse; Le blanc pour l’ouest, le fer, le détachement et la sainteté; le rouge pour le sud, le feu et la passion.
Cette symbolique est présente dans de multiples domaines comme l’architecture, la mode, la décoration des palais et également dans la cuisine,la géographie, la philosophie, les sciences naturelles ou humaines. Les couleurs ont aussi un sens politique.
La mode coréenne présente une véritable identité, un style qui a su perdurer au cours des siècles.
Le choix des couleurs dictées par les raisons évoquées a laissé par le passé peu de place aux mélanges de couleurs et on trouve une certaine sobriété dans les lignes présentées. Vous pourrez juger sur place ou sur les photos ci-après. Le hanbok costume traditionnel traverse les époques!
J’ai apprécié l’originalité de la mode homme actuelle de la veste en surveste manteau, et certaines créations femmes dont celles qui présentent des textiles vaporeux sous un aspect millefeuille!
costume-veste-homme–Juun-Jcostume-veste-homme–Juun-JParure-de-têteParure-de-têteParure-de-têteLe graphisme coréen est le domaine qui m’a le plus impressionnée.
Graphisme et alphabet
Quelques vidéos expliquent leur alphabet, le Hangul inventé au XVe siècle. Le Hangul,a été créé comme alternative au chinois, alors dominant et réservé aux personnes lettrées afin de contrer l ‘illettrisme. Il est devenu une référence culturelle et identitaire primordiale : souvent transmis par les femmes, à sa création, il est aujourd’hui la langue maternelle. Le choix et la création du vocabulaire ont été faits sur la base de sonorités consonnes faciles à exprimer et riches de sens. Il y a 5 consonnes de base. Les cinq consonnes font référence ou cinq éléments eau, arbre, feu, fer, m’ait. Les voyelles illustrent les éléments essentiels de la philosophie orientale : le trait horizontal représente la terre, le rond le ciel et le très vertical l’homme. Cet alphabet comporte 24 lettres ( 27 à l’origine).
Devenue par la suite écriture interdite, ce n’est qu’après la seconde guerre mondiale que le Hangul se généralise et permet rapidement d’atteindre des taux d’alphabétisations parmi les plus élevés au monde dans les 2 Corées.
L’émergence du graphisme est ponctuée par des moments marquants, tels que la proclamation d’indépendance en 1945 ou encore les Jeux olympiques de Séoul en 1988, qui contribuent au développement d’un milieu propice à la créativité, encore aujourd’hui en plein essor. Si cet art ne dispose d’aucune tradition à proprement dite, il intègre rapidement les codes et les spécificités culturelles locales. En proposant un langage visuel moderne et libre, il est le reflet d’une quête de renouveau, actuellement omniprésente en Corée.
Le graphisme coréen est dans la même mouvance que le graphisme européen – celle d’une époque qui cherche la sobriété des lignes et des courbes visant à créer une identité visuelle à partir d’éléments « simples » « essentiels »; le trait, le cercle.(Théatre de l’Athénée avec Malte Martin, logo de l’expo Officielle).
Design objet et mobilier
Là encore, un enchantement opère. Les créations présentées, mobiliers, bijoux, objets sont résolument contemporaines et trouvent leur place dans le hall du musée et les salles annexes.
On sort ravi de cette exposition qui en plus d’être une découverte et un plaisir des yeux est également une première étape dans la compréhension d’une autre culture.
L’art, la culture sont ouverture au monde.
Cette exposition m’a donné envie d’en savoir plus sur les langages et leurs influences sur notre manière d’être et de penser.
ALLEZ Y!
Et je vous remercie de me faire part de vos ressentis!
Korea Now
Le musée des Arts décoratifs
107, rue de Rivoli
75001 Paris
du 19 septembre 2015 au 3 janvier 2016, fermé le lundi
Ambroise Monod pratique la création à partir d’objets abandonnés qu’il récupère et réinvente depuis 1969.
Cette rétrospective présente plus d’une centaine d’oeuvres, un bestiaire à la fois cocasse et poétique.
Organisée par L’Atelier Protestant et l’Institut protestant de théologie, cette exposition est dédiée au regard créatif porté sur le gaspillage et le déchet.
Alain Aghaian, lissier de formation expose des panneaux inventifs et colorés réalisés à partir lui aussi de matériaux délaissés et de tissus.
Pour le souvenir, le plaisir des sons et visuels d’une autre époque – voici la présentation faite d’Ambroise Monod à l’ORTF en 1973
Pour ne savoir plus sur cet homme hors du commun pasteur, théologien protestant et artiste – je vous invite à visiter son site
Son père n ‘est autre que Théodore Monod, scientifique naturaliste, explorateur, érudit et humaniste français. C ‘est lui qui en 1954,a réalisé la traversée de la Majâbat al-Koubrâ, région saharienne que personne n’avait encore sillonnée. 900 kilomètres sans point d’eau, aller et retour, soit 1800 kilomètres en sept semaines.
Et mercredi 4 novembre – soirée Recup’Art – de 20h à 22h
» à la rencontre, d’un mot, d’une marque, d’un message »
Table ronde avec Jérome Cottin, professeur de théologie pratique à l’université de Strasbourg, Laurent Danchin critique d’art et Ambroise Monod
Présentation du film de Marcel Gosselin « Récup’Art » de 1973 -18 mn
L’entrée est libre , le lieu vaste et beau, l’accueil sympathique, venez découvrir l’exposition si ce n’est déjà fait et échanger autour de l’art et des préoccupations actuelles de retraitement de nos objets désuets, délaissés et abandonnés.
Récup art – jusqu’au 8 novembre
83 bd Arago 75014 de 14h à 18h
Le Manifeste du Recup’Art
R Redonner à l’objet jeté l’occasion de reprendre place dans l’univers visuel, selon une finalité nouvelle ou comme une forme présente sans utilité aucune.
E Espérer pour l’imagination un champ sans limite, une escapade hors des règles, des traditions, des convenances, afin de laisser à la créativité la liberté de créer ou non, beau ou laid, mesquin ou grandiose.
C Créer à partir des déchets, des objets répudiés, des matières abandonnées, des éléments de décharge, c’est renoncer à la fatalité du pourrissement et établir que la création est encore une fête malgré des moyens dérisoires ou de dérision.
U User des débris laissés par la société d’abondance, c’est porter un regard d’humour sur le progrès technique en donnant à la chose éphémère une chance de disparaître moins vite et de durer comme objet.
P Politiser l’existence, c’est aussi saisir les possibilités de libérer l’imagination, de désobéir à la norme, de déserter la légalité, de réaliser l’imaginaire dans un acte qui existent pour celui qui le vit, qui survit différemment pour celui qui le voit et qui préfigure la libération espérée du monde.
ART Are nom commun, curieusement masculin, peux tout désigner.
Ambroise Monod, Strasbourg 1969
La création à partir de la récupération des objets – une pratique devenue courante
Ambroise Monod a lancé la voie. De nos jours de nombreux artistes se sont pris de passions pour réinventer les objets abandonnés.
Il en est qui ont même une spécialité , c’est le cas de Nathalie Thillay qui réalise des drôles d’êtres – composés uniquement de pièces de vélos!
Un parallèle entre le Récup’Art d’Ambroise Monod peut être fait avec les bijoux fantaisie dont on ne sait que faire et que l’on ne porte plus.
Je suis dans une quête comparable; que les bijoux un jour choisis puissent continuer leur route tout en étant porteur d’une partie de votre histoire, que ces bijoux ne soient pas détruits, qu’ils servent encore.
Faire avec ce que l’on a,
Porter qui on est,
Donner un peu de soi
Ces bijoux réinventés sur lesquels je travaille, peuvent être les vôtres. Je les nomme les bijoux dormants, ce sont eux aussi des bijoux qui vous relient, porteur de souvenirs et d’histoires.
Un article entier pourrait être fait sur le thème » Nos poubelles, une richesse » ; matières à créer, matières à réinventer, matières à dépecer et réutiliser. Ce sera pour une autre fois!
RECUP-ART–Ambroise-MonodRECUP-ART–Ambroise-MonodRECUP-ART–Ambroise-MonodRECUP-ART–Ambroise-MonodDes-oiseaux-qui-picorent-des-Chris-qui-s’ébattentMozinor-les-chiens-de-Nathalie-ThillayCollier avec élément de bracelet de montre
Voilà La boutique éphémère ULUP – Un Lieu Un Prétexte que j’organise avec Céline de la marque Des-Sacs bat son plein.
C’est toujours un plaisir de se retrouver dans le quartier du Marais – dans une jolie rue à l’abri de la frénésie de la ville et de la rue des Francs -Bourgeois ( à 30 mètres).
Pour vous situez la boutique , nous sommes entre le musée Picasso , la rue de Thorigny ( elle est dans le prolongement de la rue Elzevir), le musée Cognac Jay, à 10 mètres de l’arrière de l’Institut Suédois et de ses beaux jardins, en face les gaufres Meert et à côté du Wood, sympathique bar restaurant!
Nous, c’est quatre créatrices. Nous nous sommes inspirées de l’univers singulier, poétique et onirique de la styliste japonaise Ken Okada, notre invité de marque pour installer, scénographier notre espace! Ambiance cocon, blanc, zen, épuré…. Moment agréable, calme, halte sympathique!
L’ambiance Ulup – Merci Ken-Okada !
Ken Okada nous a confié son installation cocon, c’est son univers blanc, vaporeux et ouateux qui vous accueille et vous enveloppe.
Une suspension de chrismaliens, liens de fils et d’argent, bijoux de fils, se fond dans le décor poétique de Ken Okada.
Un sac à dos Des-sacs et un gilet Laurence Barataud sont la sélection pour l’homme présentée dans la vitrine.
Les Créateurs
Ken-Okada
La styliste japonaise dont la marque existe depuis 15 ans , installée rue de la Chaise tout proche du Bon Marché est parmi nous.
Nous présentons ses modèles de chemises hommes, femmes ainsi que des surchemises pour femmes. Une chemise Ken-Okada se reconnait! coupe audacieuse, belle matière, style épuré, souci du détail, souplesse – que dire encore!!! Venez les découvrir.
En ce moment Ken Okada expose son univers et ses toutes dernières créations – pièces uniques – haute couture à la Galerie Joyce 168 rue de Valois – voir l‘article sur l’expo et son défilé .
Nous adorons ces gilets qui allient classique et modernité avec son choix de belles matières, ses touches d’originalité avec leurs franges sur les poches, le choix des doublures, les piqures et surpiqures, la qualité des matières…
De détails modernes et élégants tout en maniant le désinvolte, c’est ce qui fait ce côté « dandy qui lui est cher!
Nous présentons ses gilets hommes et femmes du moment.
A l’occasion de cette boutique et en avant première – avant le salon Made in France qui se tiendra très bientôt, nous présentons ses nouveaux modèles, de nouveaux formats – de la petite pochette qui ne vous quitte pas, au sac à dos plat léger que l’on oublie et qui vous laisse libre de tous vos mouvements et avec lequel on peut courir ou danser.
Ce sont les sacs T, Tot et Totem toujours dans des cuirs italiens de vachette de belle qualité aux couleurs adaptées à vos envies, sans oublier l’aspect fonctionnel de ous les modèles Des-Sacs,; double poches, anneau clé, pochette zippée intérieure mobile, choix du type de porté…
Pour cet univers particulier, la présentation des bijoux se fait sur des papiers aquarelles blancs sur table bois, la simplicité met en valeur les bijoux
Les chrismalienssont présentés dans leur gamme élargie – liens, bracelets, bagues, collier, boucles d’oreille. Il y a également un grand choix de colliers chrismaliens.
Si vous souhaitez une couleur, une taille de collier, de bague particulière, tout est possible et sera fait pour vous le lendemain.
, ces bijoux réinventés à partir de bijoux fantaisie cassés, désuets, oubliés sont réinterprétés, adaptés, mélangés…pour devenir des pièces uniques porteur d’histoire.
Pourquoi ne pas apporter votre petite boite à chaussure afin d’envisager plein de possibles et de cadeaux pour vous ou pour les vôtres.
La collection des boucles d’oreille uniques vous attend – des boucles d’oreille, longues, très originales qui se portent par une – à vous de décider du côté gauche ou droit en fonction de votre coiffure et de vos envies!
A chaque édition d’Ulup, nous faisons un tirage au sort, nous proposons l’Ulup Box!
Si vous nous laissez vos coordonnées, vous ferez partis de ces chanceux qui à chaque édition, emportent une pochette cuir, des chrismaliens, un étui lunette… Sans obligation d’achat!
ULUP- du lundi 19 au dimanche 25/10
15 rue Elzévir 75003
de 11h à 19h avec nocturne « sympathique » le jeudi 22 jusqu’à 21h
Cerise sur le gâteau, nos charmants Voisins du 11 bis qui présentent Larty Collection font également leur vernissage avec animation dans la rue. Démonstration de Tai-Chi à talon haut!!! Cela promet!!
Le peintre japonais Hiro Hata expose jusqu’au 15 octobre à la galerie du Montparnasse.
Elle y expose ses grandes toiles colorées et nous emporte dans son univers. On y retrouve les traces de sa vie, sa passion pour la musique , ses amis, les poissons et oiseaux…
Hiro est peintre, journaliste et poète. Elle a fait des études de Beaux-Arts a Tokyo ou elle a régulièrement exposé, elle était journaliste au Japon.
Elle est venue en France dans les années 2000, aujourd’hui elle est journaliste indépendante, elle traite le sujet de l éducation. Elle est également écrivain et poète.
Voici l’un de ses Haikus
La lumière d’hiver passe
à peine par la rosace
le Christ semble s estomper.
Ce haiku lui a été inspiré par l’ église St Étienne du Mont située à côté du Panthéon.
Pour la contacter : hiro75014@gmail.com
Galerie du Montparnasse jusqu’au 15 octobre – 12h – 21h
Je vous présenterai ma nouvelle gamme de Chrismaliens aux couleurs douces et chaudes, la collection de boucles d’oreille uniques du moment – boucle d’oreille pendante originale dans les tonalités argent cuivre et doré ainsi que mes dernières réalisations de bijoux dormants (voir article dédié) – bijoux pièces uniques confectionnés à partir de pièces chinées et collectionnées.
La rue Elzévir est située au cœur du quartier du Marais dans le 3ᵉ arrondissement de Paris. Elle commence à la rue des Francs-Bourgeois pour rejoindre l’angle de la place de Thorigny et de la rue du Parc-Royal. Venez nous voir, Il a plein de chose à faire et découvrir dans le quartier, Nous sommes entre le Musée Picasso, le Musée Cognac-Jay, l’Institut Suédois, proche du Musée Carnavalet et en face les gaufres Meert!
Boutique ULUP du 19 au 25 Octobre
de 11h à 19h – nocture le jeudi 22 juqsqu’à 21h
Espace Boutique Galerie – » la boutique bleue »
15 rue Elzevir – 75003 Paris – Métro Saint-Paul ou Chemin-Vert
10 au 11 octobre 2015 – Portes ouvertes de Montreuil
Avec le collectif SIMPPL * je participe aux portes ouvertes de Montreuil 2015 . J’y expose mes sculptures totems – sentinelles faites de fer, plâtre, bois, tissus,papiers et petits objets.
Le collectif SIMPPL ,composé pour cette première édition de 9 sculptrices, est l’invité de Jeanne Julien – personnalité plurielle créatrice de mobilier- décoratrice d’intérieur .
Le collectif est fondé sur la passion commune d’un travail ou prévaut la mixité des matériaux considérant que tout peut devenir élément de sculpture.
Jeanne Julien, notre hôte, crée des sièges, des luminaires, elle réinterprète vos objets ou vous en façonne de nouveaux. Elle intervient également dans le réagencement des commerces.
La céramiste Manoli Gonzalez également invitée de Jeanne Julien vous présentera ses créations en porcelaine toute en finesse et légèreté.
Mozinor
Ce sera à Mozinor – lieu atypique – ancien site industriel en mutation – lieu de tous les possibles. C’est un lieu à découvrir, je vous y recevrai sur les toits de Mozinor ou herbes et vue sur Paris vous raviront je l’espère. Pour nous trouver, Suivez affiches, ballons et marquage au sol.
Samedi 10 et dimanche 11 octobre – 14h à 20h – Vernissage le samedi 10 à partir de 18h.
Mozinor- Lot 38C la terrasse – 2 av. S. Allende 93100 Montreuil // Ligne 9 – arrêt Mairie de Montreuil puis Bus 102 ou 121 arrêt Edouard Branly
Cette fois encore la Fondation Cartier fait mouche. Une très belle exposition « Beauté Congo » – » Congo Kitoko ». sur l’art de la République Démocratique du Congo y est présentée au travers une quarantaine d’artistes sur la période de 1926 à nos jours. « Kitoko » veut dire « c’est beau! ».
« Congo Kitoko » c’est
– une peinture inclassable, » populaire » propre à ce pays, à sa vitalité, son caractère expressif et débridé, des toiles respirant bonheur et joie avec des personnages haut en couleur, où politique et vie quotidienne sont mêlées, des tableaux qui sont comme des fables, des rêves et empreints d’humour.
– des photos qui témoignent de l’ambiance des périodes traversées,
– des sculptures utopiques hautes en couleurs et matériaux divers principalement de récupération,
– le tout est accompagné d’un parcours musical « rumba »d’une grande richesse, musique congolaise urbaine dansante diffusée de manière confidentielles, les morceaux » ne pouvant être entendu par les amateurs contemplant les œuvres. Ayant beaucoup apprécié l’exposition, j’aurai aimé qu’une salle permette la rencontre entre la musique et les peintures favorisant une déambulation rythmique à l’image des moments vivants peints …
Je salue le café Kitoko – halte fort sympathique qui permet de profiter du bel espace extérieur et du jardin tout en restant dans la magie colorée de l’expo!
Pour tout savoir ou presque!
De nombreux articles sur l’expo ont été faits. En voici quelques uns.
Fondation Cartier « Présentation expo » avec de nombreux interviews des artistes et du curateur André Magnin.
Vous trouverez ci-après les photos des artistes qui m’ont vraiment fait apprécier cette exposition.
Compte tenu de son succès, elle vient d’être prolongée jusqu’au 10 janvier 2016. MERCI!
C’est une exposition dont on sort avec le sourire et l’envie de bouger… tout public…. Allez y!!! C’est jusqu’au 10 janvier 2016.
Steve BandomaSammy-BalojiRigobert-NimiPilipi-MoulongoyMode-MuntuMika-2MikaMikaLubaki-Lubaki-Kura-ShomaliIsek-KingelezDjilatendoCheri-Samba-la-vraie-carte-du-mondeCheri-SambaCheri-Cherin-Cheri-Cherin-Cheik-LebyArt-BodoAmbroise-Ngaimoko
Les expositions
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 20h
Nocturne le mardi jusqu’à 22h.
Du mardi au vendredi, à 18h, visite guidée de l’exposition avec le billet d’entrée. Dans la limite des places disponibles. Fermeture de la billetterie 30 minutes avant.
Fermeture le lundi.
Fermeture les 25 décembre et 1er janvier.
Merci de me faire part de vos commentaires si vous y allez! Cela me replongera dans ce bon moment et je vous répondrai…