Merci pour votre enthousiasthme votre soutien. Lorsque l’on présente un tout nouveau travail, le regard et l’échange avec les autres sont importants et j’apprécie nos rencontres.
Cela fait maintenant 4 ans que je me suis lancée dans la pratique de la taille directe, la sculpture sur pierre.
Taille directe
C’est un peu par hasard que j’y suis arrivée, je souhaitais travailler avec le bois flotté, un matériau que l’on rencontre souvent abandonné sur les plages et je suis allée dans un atelier de taille directe dont les membres faisaient de la pierre. Sans trouver cela facile, cela demande temps, techniques et efforts, je me suis surprise à suivre des courbes, trouver le mouvement. La thématique des « Pas finis » – mes êtres en évolution, ces « éphémères » par rapport à l’échelle du temps et à la certitude de la finitude humaine se sont vite imposés et une petite série est née, jamais encore exposée,
Mon besoin d’exploration et de mélange m’a conduit vers d’autres champs d’application; mélange de pierre, puis mélange de fer et et de pierre puis bois, pierre, bronze et sur des pièces plus petites céramiques, bois, métal, bijoux… mix media..
Famille des Pas Finisle rêveurl’indécisLourd fardeauArbre bleue et homme soutenuDame nature extraitle grand doux hauteur 65 cmCostaud hauteur 60 cmDanseuse patineuse
Les pierres travaillées manuellement sont des serpentines, albâtres, tuff, calcaires et opales (pierres métamorphiques du Zimbabwé).
Exposition Liens avec les AAB- Espace Commines – Marais -Paris
Prochainement, avec les Artistes à la Bastille, j’exposerai mes 2 dernères réalisations « pierre sur le thème » « Liens »*
* thème qui est le mien depuis 15 ans – j’ai démarré ma seconde vie « professionnelle » avec les chrismaliens- des bijoux de fils et d’argent, des liens fragiles et éphémères qu’il nous faut entretenir…). Aujourd’hui les bijoux sont accessoires et services.
Je présente 2 sculptures » scénettes » en rapport avec les liens qui unissent tout le vivant – la terre, l’air et l’eau.
La 1ère petite installation est un arbre ( bois, fer et albâtre) accompagné de tous petits personnages » les pas finis » et d’un grand personnage – relié, connecté, soutenu, dépendant de la terre, l’air et l’eau.
La seconde installation représente « mère nature » à la fois grotte où l’on se réfugie et où l’on puise ses resources et corps que l’on tente de dominer et d’exploiter, Mère nature est accompagnée de ses petits êtres pas finis dépendants qui ‘sy abrite et la dévore.
Espace Commines du 30/11 au 3/12 , 17 rue Commines 75003 Paris
Vernissage le jeudi 30 à partir de 18h30, ouverture jeudi, vendredi, samedi et dimanche de 14hà 20h.
Je serais présente tous les jours et serais tavie de vous accueilir. Si vous le pouvez, prévenezmoi de votre visite. mcl@chrismali.com – sms 06 23 58 01 26
Vivants éphémères Bienvenue sur la planète Terre
Enracinés, nourris, soutenus, Sur terre, sous terre Dans les mers, dans les airs.
Chantal, Rémy, pâquerette, crevette, gazelle Moustique, papillon, herbes folles, Dauphin, platane, cerisier, cassissier, Pour tout le vivant Même terre, même air, même eau
Tout est lié, tout est lien
Chrismali
Complétant les sculptures, j’exposerai 2 gravures en rapport avec la thématique de l’eau , la mer et de toutes ses vies inconnue.
Nouvelles du ticket
Mon travail avec les tickets de métro continue. Peut-être une belle exposition prochainemement.. Je vous tendrais au courant.
La période des cadeaux approchant, j’ai de nombreux mini tableaux – le tableau ticket unique ou petits cadres format 20-*20 facilement expédiables, à des tarifs cadeaux; 15 euros hors transport pour les touts petits et entre 35 et 50 pour les formats carrés 20*20. Ne prenant pas toujours le temps de poster sur ma boutique l’ensemble de mes créations, n’hésitez pas à me contacter, par mail mcl@chrismali.com ou par sms 06 23 58 01 26. Voici le site où vous pouvez voir les mini tableaux.
L’exposition « Chagall à l’oeuvre » réunit un ensemble d’œuvres d’après g/uerre entrées dans la collection du muséee collection en 2022 et venus enrichir la collection du Centre Pompidou, l’une des plus représentatives e26/02/24t des plus importantes de l’œuvre de l’artiste, surtout pour les œuvres d’avant-guerre; Cent-vingt-sept dessins, cinq céramiques et sept sculptures de Marc Chagall.
L’exposition présente les dessins préparatoires aux costumes et rideaux de scène du ballet l’Oiseau de feu d’Igor Stravinsky repris par le Ballet Theater de New York en 1945, les esquisses et maquettes pour la décoration du plafond de l’Opéra commandée à l’artiste en 1962, ainsi qu’un ensemble de céramiques, collages et sculptures réalisés des années 1950 à l’aube des années 1970.
Chagall nous emporte par son trait envolé , ses couleurs légères, son bestiaire anthropomorphe, ses ciels peuplés de personnages volants, ses allégories amoureuses dans un monde proche du rêve qui n’en aborde pas moins les thèses de la misère, la guerre et la violence.
Chagall artiste protéiforme, peintre, dessinateur, illustrateur, sculpteur, céramiste, lithographe travailla sur de nombreux projets autour de la musique qu’il aimait tant et qui se retrouve continuellement dans son oeuvre.et également dans cette exposition
J’ai particulièrement aimé ces collages tardifs, ses céramiques et les maquettes pour le plafond de l’Opéra Garnier. On remarquera dans ses collages l’utilisation de tissus, dentelles et papiers de toutes sortes dont des timbres.
Nicolas De Staël (1914-1955), figure incontournable de la scène artistique française d’après-guerre est exposé au Musée d’Art Moderne de Paris jusqu’au 21/01/2024.
« La rétrospective rassemble une sélection d’environ 200 œuvres venues de nombreuses collections publiques et privées d’Europe et des Etats-Unis dont une cinquantaine montrées pour la première fois dans un musée français.
Avant 1940
Organisée de manière chronologique -de 1934 à 1955, l’exposition retrace les évolutions successives de l’artiste, depuis ses premiers pas figuratifs et ses toiles sombres et très en matières des années 1940, jusqu’à ses tableaux peints à la veille de sa mort prématurée en 1955. Si l’essentiel de son travail tient en une douzaine d’années, Staël ne cesse de se renouveler et d’explorer de nouvelles voies : son « inévitable besoin de tout casser quand la machine semble tourner trop rond » le conduit à produire une œuvre remarquablement riche et complexe, « sans esthétique a priori ». Insensible aux modes comme aux querelles de son temps, son travail bouleverse délibérément la distinction entre abstraction et figuration, et apparaît comme la poursuite, menée dans l’urgence, d’un art toujours plus dense et concis : « c’est si triste sans tableaux la vie que je fonce tant que je peux », écrivait-il. La rétrospective permet de suivre pas à pas cette quête picturale d’une rare intensité, en commençant par ses voyages de jeunesse et ses premières années parisiennes, puis en évoquant son installation dans le Vaucluse, son fameux voyage en Sicile en 1953, et enfin ses derniers mois à Antibes, dans un atelier face à la mer.
La biographie de Staël a d’emblée créé un mythe autour de son art : de son exil après la Révolution russe jusqu’à son suicide tragique à l’âge de 41 ans, la vie du peintre n’a cessé d’influer sur la compréhension de son œuvre. Sans négliger cette dimension mythique, la rétrospective entend rester au plus près des recherches graphiques et picturales de Staël, afin de montrer avant tout un peintre au travail, que ce soit face au paysage ou dans le silence de l’atelier. Enfant exilé devenu voyageur infatigable, l’artiste est fasciné par les spectacles du monde et leurs différentes lumières, qu’il se confronte à la mer, à un match de football, ou à un fruit posé sur une table. Variant inlassablement les outils, les techniques et les formats (du tableautin à la composition monumentale), Staël aime « mettre en chantier » plusieurs toiles en parallèle, les travaillant par superpositions et altérations successives. Le dessin joue, dans cette exploration, un rôle prépondérant dont une riche sélection d’œuvres sur papier souligne le caractère expérimental. »
J’ai beaucoup aimé cette exposition, tout particulièrement ses premières œuvres et nombreux de ses tableaux de tailles modestes aux palettes bleu , gris, blanche ocre, aux couleurs douces et cependant contrastées, fortement empreintes en matière et souvent avec un touche vive tel que le rouge, et j’ai apprécié de découvrir ses peintures aux couleurs chaudes intenses orange, aubergine, noire… aux alliances très actuelles.
L’exposition permet de ressentir le besoin d’évolution et les recherches constantes de l’artiste, son besoin de renouvellement dans sa pratique. Elle met également en évidence le poids de la reconnaissance des galeries et collectionneurs sur son travail.
Un été sans nouvelles! Pourtant créations, rencontres artistiqes sont toujours au rendez -vous.
Cet été a rimé avec famille, mer, famille, Paris, mer, amis, entrecoupés de moments créations volés aux siestes et temps calmes…
Le Ticket de métro Paris-grand Paris, ce petit papier cartonné – si facile à emporter, encore présent, avec lequel, je n’ai pas encore épuisé toutes mes investigations permet encore de nouvelles interprétations.
Dessins au noir
J’ai démarré depuis début 2023 une nouvelle approche, un travail au noir sur tickets de métro. à l’encre de chine et pastels gras avec une création intuististe au départ pour devenir un jeu de composition par la suite – sans recherche de sens – par un appel des lignes et couleurs.
Le ticket de métro est le plus souvent dissimulé en parti , il ne subsiste que quelques blancs, taches de couleurs, ombres plus marquées – qui créent un rythme sur le papier. Le ticket de métro est transformé, il change de taille, devient carré, très fins. Les repères sont bousculés.
A vous de voir!
ChrismaliAbyssesChrismali détailAnimalisériePoints de connexion
Et pour le côté » Recycl’art – Re -use – Recyclage – – Rien ne se perd! Faire avec ce que l’on a!
Parfois , on garde de jolies petites choses – ici une jolie boite métal du chocolatier – sculpteur Patrick Roger. Elle sert d »écrin à 4 mini tableaux – dessin au noir ! Voici une idée – pour une jolie boite – en faire un cadre.
Travil encre de chine pastel gras sutr 1/2 ticket carré
Gravures sur tickets de métro
Des recherches en cours qui peinent à aboutir. Cependant les nouvelle créations ouvrent des portes et je les pousse.
J’ai mené des expériences estivales avec une machine à pâtes en ayant l’idée de travailler le petit, graver le ticket de métro – 1 ticket – 1 gravure. Ce fut un rendu plutôt moyen avec cependant des prespectives intéressantes. Lors du retour à l’atelier en septembre – nouveaux tirages – concluants et nouvelles idées de présentation – composition. C’est ainsi qu’est né un tableau composé de 16 tableaux – un ensemble de mini tickets gravés- monotypes -encadrés donnant la possibilté de les manipuler et présenter différemment.
Compositiobn 16 tableaux Chrismali – tirage sur ticketsChrismali DétailPlaque pour tirage Ticket peint et gravure – ticket monotypeTickets peints et gravure – ticket monotypeMatrice Volutes – MonotypeVolutes 1 – monotypes Volutes 2 – monotypeAu départ une plaque – tirage impression et travail graphiqueTicket grave et signe à l’encre de chine
Passionnée de gravures j’ai visité le musée Soulages de Rodez, j’ai retrouvé ses grands tableaux outrenoirs et découvert ses magnifiques grandes gravures moins connues accompagnées de leurs plaques, les matrices…. des oeuvres qui m’ont touchées.
Je vais vous conter l’histoire du « Signal », ce bâtiment, double barres de béton, emblématique d’une époque et de l’érosion côtière. Signal, ce paquebot posé sur la plage initialement à 200 mètres de la mer a aujourd’hui disparu.
Il était situé à la pointe du Médoc proche de l’estuaire de la Gironde à Soulac-Sur- Mer, une région, un lieu qui me tiennent à cœur..
Commençant par le projet artistique, cet article vous parlera également de son histoire et de celle de sa région, la pointe du Médoc.
Signal – un batiment, un lieu, une histoire inspirante
A partir de gravures et techniques mixtes, j’ai réalisé des monotypes montrant le « Signal » face aux éléments; sable, mer et vent.
Le « Signal » atteste de ce que je ne sais nommer, oscillant entre de nombreux maux: Refus de mémoire, folie, inconscience collective, cupidité, absence de plan prospectif à long terme de notre société et en corollaire des politiques à court terme, à moins que ce ne soit une confiance totale en l’homme et les progrès qu’il a été capable d’engendrer et qu’il devrait être en mesure de réitérer. A chacun son interprétation.
Un première série d’estampes uniques a été faite à partir de la même plaque de cuivre avec la technique de la photogravure et travaillées ensuite différemment pour obtenir des atmosphères et situations particulières mettant en scène le « Signal « fièrement dressé sur la plage et côtoyant la mer avant et pendant la tempête; « orage annoncé », « l’emprise du temps », « disparition, apparition », « inéluctable », « Inconscience collective », « méduses, médusée…je m’amuse avec vous », « le temps gagne toujours ».
Signal, tu disparaisOrageOrage annoncé
Certaines pièces jouent avec un collage de sérigraphies de méduses réalisées à Soulac avec Catherine Volk comme guide pour mes premières sérigraphies, d’autres comportent collage et gravure d’une autre plaque.
Neuf monotypes de la série » Signal – orage annoncé » sont présentés à l’exposition du Cercle des Artistes de Paris – du 6 Mai au 29 Mai au Parc Floral de Paris.
D’autre séries verront le jour – Signal tremblements, disparition – Grignotage du Signal – Signal, balcon abandonné sur la mer
La page gravures du site – chapitre Signal sera actualisé des différentes séries et créations.
Chrismali
Signal, vie et disparition
L’âge d’or
Il était une fois, une époque florissante, c’était l’après guerre, la croissance était au beau fixe.
Le futur était plein de promesses. Avec la 4èm semaine de congés payés en 1963, les vacances à la mer passent du rêve à la réalité pour nombreux, le tourisme de masse est en marche .
C’est dans ce contexte qu’est né le projet ambitieux pour l’époque d’installer sur la Côte aquitaine à la pointe du Médoc dans une petite ville d’environ 2000 habitants, Soulac-sur-Mer, un ensemble d’immeubles constitué de 14 bâtiments de 40 mètres de long et 4 étages à 200 mètres du trait de côte, la limite entre terre et mer.
Ce projet qui n’aurait pas du voir le jour compte-tenu de sa situation dans une zone à risque historiquement connue *- était sans nul doute voué à l’échec puisque le promoteur immobilier a fait fait faillite, seule la partie ( 2 bâtiments sur 14 ) déjà lancé du projet du projet à été construite.
Le prospectus commercial de l’époque ventait sa situation » un balcon sur la mer », « merveilleusement sur la plage », « pour vos vieux jours ».
C’est ainsi qu’est né le Signal, il porte bien son nom ! Il est le rappel de l’ambition et de la folie des hommes. Il est un signal parmi tant d’autre de l’érosion côtière, de notre époque » l’ anthropocène », de l’inéluctable de la terre et de l’univers.
La fin du Signal
Lors de la tempête Xynthia du 28/02/2010, le trait de côte s’est rapproché, il n’ était plus qu’à 10 mètres. C’est le début de la fin pour le Signal. Entre 2010 et 2013 , la ville apporte du sable et tente de contrer l’avancement de la mer…
En janvier 2014, après moultes tempêtes hivernales, la préfecture prend un arrêté de péril et fait évacuer l’immeuble qui est menacé par l’érosion côtière.
Principalement – immeubles de vacances, il semblerait que l’immeuble ait été vidé de ses habitants comme pour une évacuation forcée, sur un coup de semonce. Les habitants n’emportant rien, y laissant leurs affaires, leur traces de vie, leurs souvenirs. Pour retrouver une partie de l’ambiance du lieu , je vous propose le livre de Sophie Poirier » le Signal ».
Après une période de batailles juridiques pour déterminer les payeurs de la » « catastrophe »; indemnisation des propriétaires expulsés, frais de dépollution, de désamiantage et de destruction, puis au terme du temps nécessaire pour faire exécuter les travaux préliminaires à la destruction, la fin du Signal est arrivé.
En février 2023, des bulldozers sont partis à l’attaque du Signal et à force de coups répétés, par petits bouts, ils ont dépecé cette carcasse vide de béton violentée qui subsistait sur la plage.
Le re végétalisation de la zone devrait avoir lieu à l’automne 2023, la nature reprenant sa place face au béton
La pointe du Médoc, une zone mouvante
La pointe du Médoc était une presqu’ile. Le site du phare de Cordouan était une ile. Soulac était situé sur l’estuaire. Des écrits anciens attestent qu’en 580, un cataclysme par effondrement du sol à emporté dans la mer villes et bourgades avoisinantes.
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de Francetude sur la côte et les dunes du Médoc : littoral ancien, littoral actuel / par Pierre BuffaultSource gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de Francetude sur la côte et les dunes du Médoc : littoral ancien, littoral actuel / par Pierre BuffaultAujourd’huisoulac zone exposée à la submersion lors de lélévation du niveau de la mer de 1,5 à marée haute – Source https://sealevelrise.brgm.fr/slr/#lng=-1.08559;lat=45.52998;zoom=13;level=1.5;layer=0
Dès le 7ième siècle, des dunes mouvantes recouvrent les terres du littoral et entrainent la désertification.
Au 14 ième siècle, de violentes poussées de sable et la montée des eaux obligent à des travaux d’exhaussement du sol de la basilique Notre Dame de la Fin des Terres de Soulac.
Au 16 ième siècle, les sables envahissent forêts et terres alentours.
Au 17 ième siècle, parallèlement à la désertification coté océan, sont décidés des travaux d’assèchement des marais girondins. Ce sont des ingénieurs hollandais qui viennent travailler sur la zone des marais et créent des polders. Digues, fosses et chenaux sont toujours en place aujourd’hui.
En 1741, face à l’invasion du sable, les habitants de Soulac-les-bains quittent leur ville et crée Soulac le Jeune .
Entre 1780 et 1810 , la Pointe de Grave recule de 1400 mètres
Vers 1830 la navigation devenant dangereuse dans l’estuaire, Le Verdon, petite ville de la pointe situé à 10 km au Nord, menaçant de devenir une île, des travaux sont décidés; épis de bois et branchages.
En 1879, l’érosion est telle que le maire de Soulac, Charles Cellerier , alerte sur les dangers de la montée de la mer pour contrer l’ensablement inévitable . Le but est de sauver Soulac, les terres arables des plaines du Bas-Médoc et de permettre la continuation de la navigation sur la Gironde jusqu’à Bordeaux.
Depuis cette période, la Pointe du Médoc a été le siège de nombreux travaux pour contrer la montée des eaux et les tempêtes . De nombreux ouvrages ont été mis en place; digues, épis, jetées, brise-mer, casiers avec enrochement, revêtements divers.
Force est de constater, « Signal » à l’appui, l’impuissance des hommes face aux éléments.
Pour en savoir plus sur le sujet de la montée des eaux et de l’érosion des côtes – un livre mêlant sciences et humour » Hé la mer monte- Chronique d’une vague annoncée » – de Eric Chaumillon , Mathieu Duméry et Guillaume Bouzard.
Une partie des informations sur Soulac et l’érosion marine vienne du livre « Erosion marine » – de Jean-Paul Lescorce – Il a également écrit plusieurs ouvrages sur la vie soulacaise et la forteresse des Arros.
Drawing now fait partie de ces salons qui rencontrent un grand engouement auprès des amateurs d’art contemporain. Ce salon du dessin montre les tendances, recherches actuelles, il s’est tenu fin mars au Carreau du Temple; 73 galeries dont 30% d’étrangères pour cette 17 ème édition.
Voici un aperçu de ce qu m’a touché, retenu mon attention.