Je vous présenterai ma nouvelle gamme de Chrismaliens aux couleurs douces et chaudes, la collection de boucles d’oreille uniques du moment – boucle d’oreille pendante originale dans les tonalités argent cuivre et doré ainsi que mes dernières réalisations de bijoux dormants (voir article dédié) – bijoux pièces uniques confectionnés à partir de pièces chinées et collectionnées.
La rue Elzévir est située au cœur du quartier du Marais dans le 3ᵉ arrondissement de Paris. Elle commence à la rue des Francs-Bourgeois pour rejoindre l’angle de la place de Thorigny et de la rue du Parc-Royal. Venez nous voir, Il a plein de chose à faire et découvrir dans le quartier, Nous sommes entre le Musée Picasso, le Musée Cognac-Jay, l’Institut Suédois, proche du Musée Carnavalet et en face les gaufres Meert!
Boutique ULUP du 19 au 25 Octobre
de 11h à 19h – nocture le jeudi 22 juqsqu’à 21h
Espace Boutique Galerie – » la boutique bleue »
15 rue Elzevir – 75003 Paris – Métro Saint-Paul ou Chemin-Vert
10 au 11 octobre 2015 – Portes ouvertes de Montreuil
Avec le collectif SIMPPL * je participe aux portes ouvertes de Montreuil 2015 . J’y expose mes sculptures totems – sentinelles faites de fer, plâtre, bois, tissus,papiers et petits objets.
Le collectif SIMPPL ,composé pour cette première édition de 9 sculptrices, est l’invité de Jeanne Julien – personnalité plurielle créatrice de mobilier- décoratrice d’intérieur .
Le collectif est fondé sur la passion commune d’un travail ou prévaut la mixité des matériaux considérant que tout peut devenir élément de sculpture.
Jeanne Julien, notre hôte, crée des sièges, des luminaires, elle réinterprète vos objets ou vous en façonne de nouveaux. Elle intervient également dans le réagencement des commerces.
La céramiste Manoli Gonzalez également invitée de Jeanne Julien vous présentera ses créations en porcelaine toute en finesse et légèreté.
Mozinor
Ce sera à Mozinor – lieu atypique – ancien site industriel en mutation – lieu de tous les possibles. C’est un lieu à découvrir, je vous y recevrai sur les toits de Mozinor ou herbes et vue sur Paris vous raviront je l’espère. Pour nous trouver, Suivez affiches, ballons et marquage au sol.
Samedi 10 et dimanche 11 octobre – 14h à 20h – Vernissage le samedi 10 à partir de 18h.
Mozinor- Lot 38C la terrasse – 2 av. S. Allende 93100 Montreuil // Ligne 9 – arrêt Mairie de Montreuil puis Bus 102 ou 121 arrêt Edouard Branly
Cette fois encore la Fondation Cartier fait mouche. Une très belle exposition « Beauté Congo » – » Congo Kitoko ». sur l’art de la République Démocratique du Congo y est présentée au travers une quarantaine d’artistes sur la période de 1926 à nos jours. « Kitoko » veut dire « c’est beau! ».
« Congo Kitoko » c’est
– une peinture inclassable, » populaire » propre à ce pays, à sa vitalité, son caractère expressif et débridé, des toiles respirant bonheur et joie avec des personnages haut en couleur, où politique et vie quotidienne sont mêlées, des tableaux qui sont comme des fables, des rêves et empreints d’humour.
– des photos qui témoignent de l’ambiance des périodes traversées,
– des sculptures utopiques hautes en couleurs et matériaux divers principalement de récupération,
– le tout est accompagné d’un parcours musical « rumba »d’une grande richesse, musique congolaise urbaine dansante diffusée de manière confidentielles, les morceaux » ne pouvant être entendu par les amateurs contemplant les œuvres. Ayant beaucoup apprécié l’exposition, j’aurai aimé qu’une salle permette la rencontre entre la musique et les peintures favorisant une déambulation rythmique à l’image des moments vivants peints …
Je salue le café Kitoko – halte fort sympathique qui permet de profiter du bel espace extérieur et du jardin tout en restant dans la magie colorée de l’expo!
Pour tout savoir ou presque!
De nombreux articles sur l’expo ont été faits. En voici quelques uns.
Les expositions
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 20h
Nocturne le mardi jusqu’à 22h.
Du mardi au vendredi, à 18h, visite guidée de l’exposition avec le billet d’entrée. Dans la limite des places disponibles. Fermeture de la billetterie 30 minutes avant.
Fermeture le lundi.
Fermeture les 25 décembre et 1er janvier.
Merci de me faire part de vos commentaires si vous y allez! Cela me replongera dans ce bon moment et je vous répondrai…
En cette période de rentrée se succèdent de nombreux grands salons et temps forts de la « Mode ». Bijorhca, Fashion week, Maison et Objets…
J’y suis allée cette fois dans l’idée de vous rapporter quelques noms de créateurs qui m’auront séduite !
Bijorhca – c’est quoi?
Bijorhca, c’est un salon professionnel international bi-annuel sur le thème du bijou (créations et matériels des perles à l’outillage).
Il regroupe plus de 500 créateurs de bijoux fantaisie, précieux et montres dont la moitié appartient à la scène internationale.
Il favorise l’émergence de nouveaux talents et jeunes créateurs. Un espace leur est dédié » Cream ».
C’est là que j’ai y trouvé mes pépites!
Le choix fut difficile!
Atelier Godolé; une famille française qui renoue avec le crochet de fil et l’adapte à sa manière au bijou. Un travail d’une grande finesse. Le tout réalisé en atelier à Paris!
Tambour Paris; présentation d’une collection bijoux laine, fil et métal inspirée des traditions et artisanat de Mongolie. « Mongolie mon amour » , des bijoux parures, haut en couleur, légers et fantaisistes.
Kikamishto ; des bijoux plein d’humour, issu d’un univers artistique plein de vie. Des bijoux, boucles d’oreilles asymétriques qui racontent des histoires.
Ida Callegaro et sa collection life therapy, une bonne dose d’humour à porter sous forme de gélules ou de petites pilules .
J’ai aussi craqué hors de l’espace Cream pour Kiyoko Hosoda des bijoux d’une grande finesse, une gamme poétique et légère – un esprit japonais allié au design italien!
Nous avons toutes sur notre visage des asymétries, des détails considérés comme des imperfections , un œil plus gros que l’autre ou plus haut ou les 2, une arcade sourcilière plus fournie, une implantation des cheveux particulières, des fossettes considérées comme énormes, des rides d’expression ou autres… Il faut vivre avec, les apprivoiser, les aimer et les considérer comme des forces.
La raie sur le côté me va mieux aujourd’hui.
Mon profil gauche est plus doux.
Je vais mettre ma boucle d’oreille à gauche – sur la partie de mon visage la plus dégagée – c’est ce que je préfère!!!
Je suis comme je suis….
Aujourd’hui pourquoi ne pas apporter à sa vie de la fantaisie si l’on en a envie, passer du temps avec ceux que l’on aime, rire. Voilà quelques préconisations pour la route vers le bien-vivre!
Je n’ai pu m’empêcher de vous parler de vie alors que la thématique de cet article est de vous dire que » porter une seule boucle d’oreille plus visible et créative » est un choix qui révèle votre personnalité. C’est un signe d’affirmation de soi, le parti prix de la fantaisie, d’un message parfois » se positionner comme différente! ». Montrer ce que l’on veut de soi!
Je propose des boucles d’oreilles uniques.
Ce sont des boucles d’oreilles « bo »à porter seule ou, si vous préférez, accompagner d’un clou simple ou d’une « bo » minimaliste et discrète.
Vous pouvez alors adopter une boucle d’oreille à laquelle vous n’auriez pas pensé! Une bo très longue, bien visible!!!
D’autres naîtront par la suite, elles sont presque toutes uniques – c’est ma manière de créer et d’avancer. Une chose en amenant une autre…
Pour les trouver, il vous donc visiter ma boutique Alittle market la rubrique « bo unique » et si vous préférez en porter 2 – la rubrique « bo asymétrique.
Si vous ne trouvez pas la bo vue dans cet article, sur une autre page du site ou sur ma page facebook, contactez- moi « mcl@chrismali.com »
Travaillant pratiquement que des créations uniques, toutes mes pièces ne sont pas mises en vente dans les boutiques en ligne.
Voici quelques photos de bo uniques tendances récoltées sur le net et produites par des grandes marques.
Si la boucle d’oreille unique ne vous convient pas. Aujourd’hui,vous pouvez composer et décider d’associer différemment vos boucles d’oreille. Il suffit de voir comment elles vont bien ensemble, s’accordent à votre tenue et vos envies du jour.
C’est un peu comme porter une boucle d’oreille unique, cela peut être fantaisiste, à message, pour jouer avec les formes, les couleurs les longueurs, les matières…
Si vous avez des boucles d’oreilles dépareillées , c’est l’occasion de leur trouver une compagne!
Et si vous n’y arrivez pas et que finalement vous aimeriez les porter en duo.
Je suis là pour vous.
Faire revivre les bijoux dormants, c’est mon crédo de toujours.
Portez qui on est, faire avec ce que l’on a….
Diriez-vous street art ! Land art ! Beach art ! Pourquoi pas Blockhaus art?
Street art , une appellation qui pourrait aller si les supports béton – objet des graffs et des tags étaient situés dans des zones urbaines!
Nous sommes sur la Côte Atlantique, elle regorge de trésors.
Ses plages en font partie. Immenses espaces de liberté, elles vous permettent de vous promener des heures durant et pendant des kilomètres et des kilomètres que seuls des estuaires ou les marées interrompent.
C’est aussi le lieu d’un art éphémère – celui des graffitis sur les blockhaus.
La seconde guerre mondiale et les allemands ont déversé leur lot de blockhaus sur cette cote.
Chaque année de nouveaux graffeurs laissent leur trace sur ces murs de bétons.
Cela donne des plages colorées ou la liberté d’expression est visible et à portée de tous.
Les photos présentées ont été réalisées au Gurp – Commune de Grayan et l’Hôpital. Un lieu familial, jeune et sportif – le spot de la région pour le surf et multiculturel – les allemands en raffolent! Les Chris et Chrismali aussi!
La couleur inspire de nouveaux Chris, des bijoux!
Des bijoux légers, sans prétention, un brin nature et très colorés! Vous pourrez les découvrir en fin d’article et sur la boutique Chrismali chez Alittlemarket
Tout en haut , proche de la Pointe de Grave et des vignobles du Médoc,sur cette partie de l’estuaire de la Gironde, j’ai été séduite par ces cabanes hors du temps, sorte de drôles d’oiseaux à longues pattes plantés dans l’eau, les sentinelles du rivage. Il s’agit des carrelets.
Ce nom désigne de manière courante les cabanes de pêcheurs sur pilotis qui sont équipées d’un carrelet – grand filet carré d’une superficie de quelques mètres carrés tendu sur une armature plane et descendu horizontalement au moyen d’un treuil depuis son ponton.
La pêche au carrelet est une pêche basée sur la connaissance de l’estuaire, du fleuve et qui tient compte du principe du flux et reflux de la marée. Le pêcheur crée ses engins et filets qui n’ont, par ailleurs, que très peu évolués en un siècle. Cette pêche est pratiquée le plus souvent par les riverains .
Que pêche t’on?
Des soles, des plies ou carrelets, des bars , des éperlans…
J’ai aimé me promener sur les digues entre marais et Gironde sur des chemins peu ou pas entretenus.
Les cabanes faites de bric et de broc, avec des bois, des tôles, des matériaux de récupérations avec parfois des barbelés pour interdire l’accès à d’éventuelles rôdeurs nous font pénétrer dans un autre temps, un autre lieu.
Elles sont couleurs pastels, des couleurs usées par le sel et le vent.
C’est sur les communes de Talais et de Saint Vivien que j’ai fait ces photos.
Pour voir d’autres photos et articles autour des carrelets et de l’estuaire:
Peu connue en France, l’artiste joaillière japonaise Nobuko Ishikawa est exposée en France . Le partenariat entre la ville d’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) et la ville d’Ichikawa, près de Tokyo a contribué à cette exposition. C’est la première grande rétrospective consacrée à Nobuko Ishikawa (1943-2012), celle-ci rend hommage à sa créativité et son talent.
Grande voyageuse trouvant l’inspiration dans ses voyages, son art est une invitation au voyage..
Ishikawa s’était lancée dans la haute joaillerie à une époque où les japonais n’en portaient pas vraiment. La haute joaillerie japonaise a ses propres spécificités ; finesse du travail, ajout de laque, l’association du cuivre et de l’or.
Nobuko Ishikawa a fait des études d’histoires de l’art , son univers s’appuie sur l’histoire et la culture des pays dans lesquels l’artiste a vécu et voyagé; le Japon mais également, la France avec ses châteaux renaissance, le Mont Saint-Michel, l’Italie avec Venise…
Certains de ces bijoux sont des tableaux miniatures.
Nobuko Ishikawa a réalisé de nombreux bijoux sur les thèmes du mythe de la création, les mythes grecs ou encore en s’inspirant de Christophe Colomb. Des thèmes facilement compréhensibles par des détails minutieusement dessinés. La créatrice s’était également inspirée de la culture de son propre pays, à travers la réalisation d’une collection de bijoux sur le thème du « Dit de Genji ».
Décédée en 2012, sa joaillerie existe toujours sous la direction de sa sœur, Yoshie Ishikawa. Son atelier au Japon installé à Ichikawa compte une quinzaine d’artisans qui perpétuent le travail initié et transmis par la créatrice.
Un univers onirique accompagnés de matériaux de haute qualité côtoyant des éléments textiles, du cuivre, des pierres taillées et des pierres brutes ainsi que de Multiples techniques et compétences sont les caractéristiques des pièces de la Maison Nobuko Ishikawa.
La broche bleue Mont Saint Michel a demandé pas moins de 550 h de travail.
A l’occasion de cette exposition des ateliers gratuits de création de bijoux avec des artisans-joailliers de la maison Ishikawa sont proposés.
Cette très belle exposition m’a donné envie de réaliser des pièces plus précieuses et de continuer à faire cohabiter les matérieux – le brut et et précieux, le textile et l’argent.
La très belle exposition du Musée du Quai Branly aborde la présentation des œuvres africaines au niveau de son origine non pas seulement géographique, ethnie et région, mais également en fonction de son auteur. Elle met l’accent sur l’artiste ou l’atelier qui a travaillé les sculptures. 330 pièces et chefs d’oeuvres sont présentés.
Elle s’efforce de nous rendre compte du statut de l’artiste qui a crée ses pièces, son positionnement social, sa liberté d’expression et ses activités dans leur ensemble.
Ce questionnement et cette approche sont novatrices et le fruit de longues recherches menées en Côte d’Ivoire. Il n’en reste pas moins que des recherches similaires pourrait être menées au Mali , Cameroun , Bénin et dans l’ensemble des pays, t de l’art primitif.
Longtemps considéré comme un artisan au service des traditions, l »artiste bénéficiait en Côte d’Ivoire d’un statut particulier et sa renommée pouvait traverser plusieurs générations.
Dans cette exposition, la patte de l’artiste, individualité sont mis en avant.
L’art de la sculpture est rattaché en Cote d’Ivoire à 6 populations. L’exposition nous les présente en s’attachant à nous faire découvrir les différences majeures de représentation liées au éthnies ainsi que celle propres aux créateurs et artistes des pièces.
Tout d’abord le contexte
Pays riche
La Côte d’Ivoire, a une superficie représentant la moitié de la France, une grande surface côtière ouverte sur l’océan Atlantique et le golfe de Guinée. Pays doté de plateaux, plaine et savanes, cours d’eaux abondants, c’est un pays d’Afrique riche en ressources naturelles.
Anciennement nommée la République du cacao et renommé également pour son café, ses ressources actuelles sont l’agriculture l’élevage, l’extraction minière et l’exploitation pétrolière.
Il est à noté qu’une des principales ressources naturelles de la Côte d’Ivoire est le bois, le pays en exporte plus que le Brésil. Le rythme de la déforestation est très important et risque de poser à court terme des problèmes écologiques et d’équilibre des ressources.
Pays multiethnique
La Cote d’Ivoire est une terre de migration. Sa population ivoirienne est en outre multiethnique. Cinq grands groupes ethniques, comprenant environ une soixantaine d’ethnies, constituent les nationaux d’origine et sont localisés dans les régions suivantes :
au nord, le groupe voltaïque (gur) ou sénoufos, 13 % de la population ;
au nord-ouest, le groupe mandé du Nord ou malinké, 17,2 % de la population ;
à l’ouest, le groupe mandé du Sud, 8,4 % ;
au sud-ouest et au centre-ouest, le groupe krous, 9,4 % de la population
au centre et à l’est, le groupe akans, 41,1 % de la population.
L’exposition, les oeuvres des ethnies et artistes
Les Dan
Un peuple qui privilégie l’excellence, une représentation en volume- charnue, ovoïde, yeux effilés pour ces masques avec des artistes parfois caractérisent leurs pièces (nez triangulaires).Tame qui signifie le voyageur – vers 1900-1960 est un des plus reconnu avec Sra dont la femme et la maternité symbolisant l’idéal féminin des Dan fut présentée à l’exposition universelle de 1931.
Le peuple des Lagunes
Ses oeuvres, personnages principalement féminins, bien campés sur leurs jambes musclés aux membres stylisés, visages et coiffes travaillés ont pour artistes reconnus des maîtres qui avaient chacun leur particularité visuelle; le maître des jolis seins, le maître des mains géantes, le maître des couronnes… Les femmes, fait rare peuvent également être sculpteur.
On peut admirer le travail du maître ivoirier , expert en ciselure d’ivoire qui s’inspira des fonctionnaires britanniques à chapeaux.
Les Baoulé
Leur nom signifie l’enfant est mort. L’art des Baoulé entretient le souvenir et la commémoration. Les statuettes sont investies de pouvoirs thérapeutiques. Le maître sculpteur est celui qui voit au delà des apparences. Les sculpteurs étaient également paysans. 7 maîtres ont été identifiés sans nom associé si ce n’est celui de leur collectionneur occidental, mieux village!
le maître de Totokro – village, oeuvres à la coiffure asymétrique et à la moue dédaigneuse
Le maître de « Kamer « Charles Ratton- collectionneur français
Le maître d’Ascher ( marchand allemand )aux figurines délicates en bois clair et chignon ciselé
Les Gouro
Le beau, la ligne la courbes sont des caractéristiques évidentes. Les masques gouro étaient utilisés pour le divertissement et les manifestations dans les villages, ils sont à l’origine de nombreuses performances. Des films sont présentés.
Les magnifiques petites pièces; étriers de poulies du maître de Bouaflé et les masques colorés de Sabu bi Boti sont des pièces remarquables destinées à éblouir.
Les Lobi
Autrefois farouches guerriers, on en retrouve des signes évidents dans la posture offensive et la force ou la grandeur de leurs sculptures. Les Lobi ne connaissent pas l’usage du masque et ont développé des têtes piquets.
Les Senoufo
Occupant un vaste territoire, la place de la monture est visible. Chez les Senoufo, la création est collective et pratiquée en ateliers, les sculpteurs sont au service de la société initiatique du Poro, c’est elle qui réglait la vie des membres dès 7 ans et assurait la cohésion du groupe.
A travers cet article, vous vous en douterez, j’aime l’art africain et ce depuis fort longtemps, il s’en est fallu de peu que mon espace ne soit envahi par toutes les pièces chargées d’histoires rencontrées.
Il est clair que l’attrait des techniques mixtes, le caractère brut de nombreuses œuvres font échos dans ce que je fais – me corresponde ou m’influence. C’est un fait!