Signal – l’inéluctable disparition

Je vais vous conter l’histoire du « Signal », ce bâtiment, double barres de béton, emblématique d’une époque et de l’érosion côtière. Signal, ce paquebot posé sur la plage initialement à 200 mètres de la mer a aujourd’hui disparu.

Il était situé à la pointe du Médoc proche de l’estuaire de la Gironde à Soulac-Sur- Mer, une région, un lieu qui me tiennent à cœur..

Commençant par le projet artistique, cet article vous parlera également de son histoire et de celle  de sa région, la pointe du Médoc.

Signal – un batiment, un lieu, une histoire inspirante

A partir de gravures et techniques mixtes, j’ai réalisé des monotypes montrant le « Signal » face aux éléments; sable, mer et vent.

Le « Signal » atteste de ce que je ne sais nommer,  oscillant  entre de nombreux maux: Refus de mémoire, folie, inconscience collective, cupidité,  absence de plan prospectif à long terme de notre société et en corollaire des  politiques à court terme, à moins que ce ne soit une confiance totale en l’homme et les progrès qu’il a été capable d’engendrer et qu’il devrait être en mesure de réitérer. A chacun son interprétation.

Un  première série  d’estampes uniques a été faite à partir de la même plaque de cuivre avec la technique de la photogravure et travaillées ensuite différemment pour obtenir des atmosphères et situations particulières mettant en scène le « Signal « fièrement dressé sur la plage et côtoyant la mer avant et  pendant la tempête;  « orage annoncé »,  « l’emprise du temps »,  « disparition, apparition », « inéluctable », « Inconscience collective », « méduses, médusée…je m’amuse avec vous », « le temps gagne toujours ».

Certaines pièces jouent avec un collage de sérigraphies de méduses réalisées à Soulac avec Catherine Volk comme guide pour mes premières sérigraphies, d’autres comportent collage et gravure d’une autre plaque.

Neuf monotypes de la série  » Signal – orage annoncé » sont  présentés  à l’exposition du Cercle des Artistes de Paris – du 6 Mai au 29 Mai au Parc Floral de Paris.

D’autre séries verront  le jour – Signal tremblements, disparition – Grignotage du Signal – Signal, balcon abandonné sur la mer

La page gravures du site – chapitre Signal sera actualisé des différentes séries et créations.

Chrismali

Signal, vie et disparition

L’âge d’or

Il était une fois, une époque florissante, c’était l’après guerre, la croissance était au beau fixe.

Le futur était plein de promesses. Avec la 4èm semaine de congés payés en 1963, les vacances à la mer passent du rêve à la réalité pour nombreux, le tourisme de masse est en marche .

C’est dans ce contexte qu’est né le projet ambitieux pour l’époque d’installer sur la Côte aquitaine à la pointe du Médoc dans une petite ville d’environ  2000 habitants, Soulac-sur-Mer, un ensemble d’immeubles constitué de 14 bâtiments de 40 mètres de long et 4 étages à 200 mètres du trait de côte, la limite entre terre et mer.

Ce projet qui n’aurait pas du voir le jour compte-tenu de sa situation dans une zone à risque historiquement connue *- était sans nul doute voué à l’échec puisque le promoteur immobilier a fait fait faillite, seule la partie ( 2 bâtiments sur 14 ) déjà lancé du projet  du projet à été construite.

Le prospectus commercial de l’époque  ventait sa situation  » un balcon sur la mer », « merveilleusement sur la plage », « pour vos vieux jours ».

C’est ainsi qu’est né le Signal, il  porte bien son nom ! Il est le rappel de l’ambition et de la folie des hommes.  Il est un signal parmi tant d’autre de l’érosion côtière, de notre époque  » l’ anthropocène »,  de l’inéluctable de la terre et de l’univers.

La fin du Signal

Lors de la tempête Xynthia du 28/02/2010, le trait de côte s’est rapproché, il n’ était plus qu’à  10 mètres.  C’est le début de la fin pour le Signal. Entre 2010 et 2013 , la ville apporte du sable et tente de contrer l’avancement de la mer…

En janvier 2014,  après moultes tempêtes hivernales, la préfecture prend  un arrêté de péril et fait évacuer l’immeuble qui est  menacé par l’érosion côtière.

Principalement – immeubles de vacances, il semblerait que l’immeuble ait été vidé de ses habitants comme pour une évacuation forcée, sur un coup de semonce. Les habitants n’emportant rien, y laissant leurs affaires, leur traces de vie, leurs souvenirs. Pour retrouver une partie de l’ambiance du lieu , je vous propose le livre de Sophie Poirier  » le Signal ».

Après  une période de batailles juridiques pour déterminer les payeurs de la » « catastrophe »; indemnisation des propriétaires expulsés, frais de dépollution, de désamiantage et de destruction, puis au terme du temps nécessaire pour  faire exécuter les travaux préliminaires à la destruction, la fin du Signal est arrivé.

En février 2023, des bulldozers sont partis à l’attaque du Signal et à force de coups répétés,  par petits bouts, ils ont dépecé cette carcasse vide de béton violentée qui subsistait sur la plage.

Le re végétalisation de la zone devrait avoir lieu à l’automne 2023, la nature reprenant sa place face  au béton

La pointe du Médoc, une zone mouvante

La pointe du Médoc était une presqu’ile. Le site du phare de Cordouan était une ile. Soulac était situé sur l’estuaire. Des écrits anciens  attestent qu’en  580,  un cataclysme par effondrement du sol  à emporté dans la mer  villes et bourgades avoisinantes.

Dès le 7ième siècle, des dunes mouvantes recouvrent les terres du littoral et entrainent la désertification. 

Au 14 ième siècle, de violentes poussées de sable et la montée des  eaux obligent à des travaux d’exhaussement du sol de la basilique Notre Dame de la Fin des Terres de Soulac.

Au 16 ième siècle, les sables envahissent forêts et terres alentours.

Au 17 ième siècle, parallèlement à la désertification coté océan, sont décidés des travaux d’assèchement des marais girondins. Ce sont des ingénieurs hollandais qui viennent travailler sur la zone des marais et créent des polders.  Digues, fosses et chenaux  sont toujours en place aujourd’hui.

En 1741, face à l’invasion du sable, les habitants de Soulac-les-bains quittent leur ville et crée Soulac le Jeune .

Entre 1780 et 1810 , la Pointe de Grave recule de 1400 mètres

Vers 1830 la navigation devenant dangereuse dans l’estuaire, Le Verdon, petite ville de la pointe situé à 10 km au Nord, menaçant de devenir une île, des travaux  sont décidés; épis de bois et branchages.

En 1879, l’érosion est telle que le maire de Soulac, Charles Cellerier , alerte sur les dangers de la montée de la mer pour contrer l’ensablement inévitable . Le but est de  sauver Soulac, les terres arables des plaines du Bas-Médoc  et de  permettre la continuation de la navigation sur la Gironde  jusqu’à Bordeaux.

 Depuis cette période, la Pointe du Médoc a été le siège de nombreux travaux pour contrer la montée des eaux et les tempêtes . De nombreux ouvrages ont été mis en place; digues, épis, jetées, brise-mer,  casiers avec enrochement, revêtements divers.

Force est de constater, « Signal » à l’appui, l’impuissance des hommes face aux éléments.

Pour en savoir plus sur le sujet de la montée des eaux et de  l’érosion des côtes – un livre mêlant sciences et  humour  » Hé la mer monte- Chronique d’une vague annoncée » – de Eric Chaumillon , Mathieu Duméry et Guillaume Bouzard.

Une partie des informations sur Soulac et l’érosion marine vienne du livre « Erosion marine » – de Jean-Paul Lescorce – Il a également écrit plusieurs ouvrages sur la vie soulacaise et la forteresse des Arros.

Spécial sculptures – expo du Cercle des Artistes de Paris

C’et toujours un grand plaisir de franchir la grille du Parc et de marcher dans les senteurs et couleurs de la nature jusqu’au pavillon des artistes du Cercles des Artistes de Paris, le numéro 18. Là d’autres couleurs , lumières, visuels vous accueillent. Ce salon est un lieu de rencontres et d’échanges avec le public bien sûr et également avec les autres artistes qui ont lieu dans une ambiance joyeuse et apaisante.

Ma première exposition avec le Cercle des Artistes de paris date de 2011 et c’est aujourd’hui ma 7 ième participation. Au fil des ans je vous ai présenté mes coups de cœurs, un spécial photographie, un journal de l’ensemble des artistes

Cette année, j’ai choisi de vous présenter le salon sous l’angle de la sculpture – Cet article est un « spécial sculptures et volumes ».

Comme pour la peinture, le choix des artistes correspond à un large panel de type de sculptures différentes; modelage avec les terres cuites, des bronzes, de la pierre , de la pierre et du verre, du bois, de la dinanderie, de la soudure, de l’assemblage (composition avec des éléments de récupération, des matériaux nobles et des éléments de la nature et du quotidien). Vous y trouverez de l’art minimaliste, des grandes pièces, de la sculpture 3 D.

J’ai ajouté à cette présentation certains tableaux – peintures qui sortent du cadre et intègrent le volume.

Très souvent des artistes sont là et vous renseignent si vous le souhaitez sur leurs techniques et celles des autres. N’hésitez pas , allez à la rencontre des artistes.

Cette année, Chrismali a présenté une sélection d’œuvres sur le thème de la mixité – mixité des composants – travail en plat et volume – le tickets de métro fait le lien. Vous trouverez des éléments comme les capsules d’œufs de raie, de la fibre végétale, des textiles, du papier, des papiers cousus, du fil, du fer, de la terre, des muselets de bouchons de champagne, de l’encre, de l’acrylique, des plumes, de la porcelaine faite main , des végétaux, des pierres, des perles, de la radio…

La mixité, c’est la vie !

L’art est champ de tous les possibles!

A bientôt, si le cœur vous en dit.

Voir l’article de Arts in the City sur l’exposition

Expo Chrismali au parc Floral de Paris

A nouveau, Chrismali expose avec le Cercle des Artistes de Paris au Parc Floral de Paris, pavillon 18 , du 4 mai au 2 juin 2019.

Expo CAP 2019 Chrismali- Le monde est fou, la vie est belle

C’est l’occasion cette année de vous présenter une thématique sur laquelle repose nombre de mes créations actuelles. » La vie est belle, le monde est fou. »

Continuer la lecture de Expo Chrismali au parc Floral de Paris

Le Parc floral de Paris – La nature enchantée, un lieu d’exposition lumineux proche Paris – bois de Vincennes

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La nature enchantée

Situé au coeur du Parc Floral, le Jardin Insolite a été créé en 1989. Ce jardinet recèle plein de curiosités, des plantes au nom étrange, aux odeurs particulières, au toucher surprenant ou aux saveurs nouvelles…A la fois jardin potager, jardin de senteurs, jardin ornemental, son entretien respecte les règles de la nature.
Il est ouvert pendant la belle saison, de mi-mars à mi-octobre, de 13h à 16h, les dimanches et jours fériés (sous réserve les jours de mauvais temps). Une occasion de rencontrer les jardiniers qui sont là pour répondre à vos questions.

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Parc Floral (1)

Se promener

Aménagé en 1969, à l’occasion des Troisièmes Floralies Internationales, le Parc Floral de Paris est un paysage sans cesse en mouvement, un lieu unique d’observation, mais surtout de détente pour les amateurs d’art floral et de promenade au vert. Depuis 1998, le parc Floral est l’un des quatre jardins, avec le parc de Bagatelle, l’Ecole Du Breuil et le jardin des Serres d’Auteuil, qui forme le Jardin botanique de Paris, sous le label de  » Jardin botanique de France et des pays francophones « .

Certaines collections du Parc Floral sont d’intérêt national ou internationale (iris, camélias, rhododendrons…). Une série de jardins à thème dévoile ces merveilles botaniques. Près du théâtre pour enfants, 200 variétés de tulipes éclosent au printemps, tandis qu’en automne, le jardin des dahlias explose de mille couleurs. De magnifiques fougères poussent à l’ombre d’une pinède majestueuse.

A l’orée du bois, le  » Jardin des quatre saisons  » possède 1 200 variétés de vivaces à découvrir tout au long de l’année : ibéris, pivoines, oeillets, asters…Dans la Vallée des Fleurs, le miroir d’eau laisse affleurer une multitude de plantes aquatiques.

Sur le promontoire qui s’y jette, des compositions florales évoquent chaque année un thème différent. De l’autre côté du miroir, sur le Mur Vivant, s’accrochent des végétaux fertilisés par hydroculture. Si le soleil n’est pas de la partie, vous pourrez néanmoins déambuler dans le parc Floral, pour y découvrir ses 28 patios et pavillons d’expositions.

Des micro-climats permettent au  » Jardin des bonsaï « , au  » Jardin des plantes méditerranéennes « , au  » Jardin des lierres « , au  » Jardin des plantes médicinales « … de s’épanouir.

Le chemin de l’évolution


Découvrez près de 600 espèces de plantes de la Région Ile-de-France, depuis leur origine jusqu’à nos jours en suivant le circuit fléché du chemin de l’évolution. 50% de la biodiversité locale a été classée génétiquement, étiquetée et est entretenue quotidiennement de manière totalement écologique.

Le circuit commence à l’entrée du parc, côté Château de Vincennes, avec les toutes premières plantes qui peuplèrent notre planète. Fougères, mousses, algues…de plusieurs millions d’années. En longeant le circuit fléché (chaque mètre parcouru correspond à 1 million d’années) on peut reconnaître toutes les espèces sauvages de nos prairies et forêts. Elles sont entretenues de manière totalement écologique, par milieux, sans engrais chimiques (seulement du broyat végétal) et sans pesticides.

Ici et là, des mares artificielles ont été aménagées pour créer des zones humides. Elles ont été rapidement adoptées par la faune. On peut y voir des libellules, une poule d’eau y a même élu domicile. Des abeilles, papillons, insectes pollinisateurs butinent les fleurs sauvages réhabilitées au coeur de la ville. La difficulté majeure pour les jardiniers est de limiter la prolifération des espèces envahissantes et
de veiller à renouveler  les semis des plantes annuelles.

 

Se distraire

Les ressources du parc sont inépuisables. Que vous soyez petits ou grands, vous trouverez de quoi satisfaire toutes vos envies. Parmi les jeux gratuits, vous pourrez profiter d’un nouveau jeu (tour amazone) qui propose une grande glissade avec un départ situé à 6m de haut, d’un parcours de santé, des tables de ping-pong, d’une structure à grimper impressionnante de dix mètres de haut, de balançoires, de tunnels et d’autres cachettes qui raviront les petits.

Les attractions payantes (tarifs/horaires : 01.49.57.24.81) donneront quelques frissons aux enfants. Ils pourront se promener sur le circuit des Tacots, pratiquer un mini-golf pour traverser Paris et ses monuments les plus prestigieux. Les plus paresseux pourront se laisser emporter par le train (indisponible pour le moment)) pour découvrir le parc Floral sans se fatiguer, à moins qu’ils ne préfèrent partir au volant des célèbres Rosalies ou faire un parcours acrobatique dans les arbres avec plusieurs niveaux de difficultés (renseignements : www.evasion-verte.fr). Les trésors du Parc « la balade insolite » est la nouvelle aventure qui propose une découverte pédagogique du parc Floral sous forme de chasse aux trésors.

Trois structures initient les petits comme les grands aux secrets de la nature. La biblio-ludothèque vous fait découvrir près de 6000 ouvrages pour tous à consulter sur place sur l’écologie, les richesses de la nature et l’environnement de la capitale ainsi qu’une centaine de jeux pour les enfants dès 4 ans. La Maison du Parc et du Bois vous informe sur l’histoire et la biodiversité des deux bois. Le Jardin des Papillons (40 espèces) orchestre, à la belle saison des ballets silencieux.
Chaque année, le parc accueille la troupe du Théâtre Astral. Elle propose des spectacles pour les enfants de 3 à 8 ans (entrée payante). Retrouvez aussi Guignol, Gnafron et Polichinelle tous les samedis (entrée libre), sous le patio situé en face du restaurant « le Bosquet ». Enfin, les Pestacles proposent aux enfants des spectacles variés mêlant la chanson et le théâtre.

De mai à septembre, le  » Delta « , un espace de 1 500 places assises, présente le mercredi, aux enfants de 3 à 10 ans, plus de 20 spectacles gratuits de théâtre, de musique, de chansons, de marionnettes, de magie, de cirque… L’été, les plus grands pourront se laisser bercer tous les week-end, par les notes de musique du Paris Jazz Festival et du Festival Classique au Vert, des concerts au succès grandissant, sous le Delta, en pleine Vallée des Fleurs.

 

Les manifestations et expositions

Le très célèbre salon Bio Marjolaine se tient au PArc Floral depuis maintenant 40 ans en novembre.

Le salon des Réalités Nouvelles, salon reconnu pour ses participants illustres au fil des années et son orientation pour l’abstraction à l’automne . Voir article sur expo 2014

Le salon du Cercle des Artistes De Paris, salon artistique grand public accueillant des artistes de tout horizon et se voulant représentatif de l’art actuel dans sa grande diversité. Voir article sur expo 2015. L’édition 2016 a lieu du 5 mai au 5 juin 2016.

Et bien d’autres manifestations… Pour en savoir plus

affiche CAP 2016
Parc-Floral-(2)

Pour en savoir plus, l’article de Nicolas Picand

Le Bois de Vincennes.

A mon avis , le plus bel espace vert proche de Paris 995 hectares. Il a en effet la « chance de ne pas être lieu de forte circulation automobiles comme l’est le bois de Boulogne, 846 hectares. Moins bitumé, c’et un havre de paix pour petits et grands, lieu pour se ressourcer et faire du sport.

Depuis peu existe dans le bois, un circuit guidé par les sculptures sur troncs d’arbres de Frêne qui surprend  les promeneurs aux détours des chemins. Voilà le parcours Et pour en savoir plus sur ce mystérieux sculpteur , Stéphane dont l’atelier est à Montreuil . Certaine oeuvres ont été réalisées conjointement avec Florian – bucheron de la ville ( pour les maisons, abris pour oiseau sculptés).

Voici un bel article de Pierre Rahbi accompagné de photos sur la découverte du Bois de Vincennes

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A ne pas manquer !

Le jardin d’agronomie tropicale inauguré en 1907,  il abrite encore aujourd’hui des vestiges de l’exposition coloniale de 1907 (serres tropicales, monuments, ponts asiatiques…)

Le palais de la Porte Doré, aujourd’hui Musée de l’immigration , il abrite également un aquarium tropical!

Le GR 14

Deux sentiers balisés de grande randonnée traversent le Bois : le GR14 et le GR14A

Le Grand circuit (GR14) : boucle de 11 kilomètres- Balisage : jaune/rouge.

Le petit circuit (GR14A) : boucle de 7 kilomètres Balisage : blanc/rouge