Kiefer chez Ropac et +

Le grand Kiefer est omni présent et partout .
Présent au Panthéon depuis 2020, après le Grand Palais éphémère 2021 (Trocadéro),la White cube de Londres, participant à la Biennale de Visite 2022, il est aussi exposé chez Taddeus Ropac à Pantin jusqu’au 11/05/22.

C’est là que je l’ai retrouvé!

Je dois vous avouer que j’ai été ravie de cette exposition bien qu’elle confirme ce que j’avais trop fortement ressenti au Grand Palais Ephémère (voir ici). Le grand Kiefer n’expose pas pour faire passer des messages au grand public- comme ses titres, les écritures sur ses tableaux pourraient le laisser penser. Il écrit pour lui! Il expose pour lui!

L’exposition de Pantin plus abordable dans ces thèmes, présente pèle-mêle des toiles inspirées de plusieurs poètes et de la Kabbale.

Depuis les années 1990, Anselm Kiefer a dédié plusieurs séries d’œuvres aux poètes Paul Celan, Ingeborg Bachmann et Velimir Khlebnikov, trois auteurs ayant entrepris de dresser le langage contre l’oubli et la barbarie. Il est également très influencé par les écrits de la Kabbale.

Chez Ropac aussi, aucune muséographie n,est là pour éclairer ses œuvres, et ouvrir à la poésie tant criée. Les inscriptions manuscrites de ses oeuvres sont reprises en titre et raccourcies et seul le titre est traduit – sur demande …

J’ai aimé à nouveau sa peinture, la variété des œuvres proposées et la lumière qui se dégageait de l’exposition. Son travail ouvre les portes des champs de l’art et montre que l’art est grand et nécessaire!

Info sur l’exposition à la Galerie Thaddeus Ropac

Art Paris – petit tour et œuvres remarquées

Je suis allée à Art paris en Avril 2022 qui se tenait cette année au Grand PAlais Ephémère – le nouveau lieu des grandes expositions des galeries.

Voici en quelques images ce qui a retenu mon attention!

Faites moi part de vos commentaires.

Alina Frieske

Un petit Nicolas De Staël !- Song Xin, Joana Vasconcelos, Sheila Hicks sculptures et dessins

Spécial sculptures – expo du Cercle des Artistes de Paris

C’et toujours un grand plaisir de franchir la grille du Parc et de marcher dans les senteurs et couleurs de la nature jusqu’au pavillon des artistes du Cercles des Artistes de Paris, le numéro 18. Là d’autres couleurs , lumières, visuels vous accueillent. Ce salon est un lieu de rencontres et d’échanges avec le public bien sûr et également avec les autres artistes qui ont lieu dans une ambiance joyeuse et apaisante.

Ma première exposition avec le Cercle des Artistes de paris date de 2011 et c’est aujourd’hui ma 7 ième participation. Au fil des ans je vous ai présenté mes coups de cœurs, un spécial photographie, un journal de l’ensemble des artistes

Cette année, j’ai choisi de vous présenter le salon sous l’angle de la sculpture – Cet article est un « spécial sculptures et volumes ».

Comme pour la peinture, le choix des artistes correspond à un large panel de type de sculptures différentes; modelage avec les terres cuites, des bronzes, de la pierre , de la pierre et du verre, du bois, de la dinanderie, de la soudure, de l’assemblage (composition avec des éléments de récupération, des matériaux nobles et des éléments de la nature et du quotidien). Vous y trouverez de l’art minimaliste, des grandes pièces, de la sculpture 3 D.

J’ai ajouté à cette présentation certains tableaux – peintures qui sortent du cadre et intègrent le volume.

Très souvent des artistes sont là et vous renseignent si vous le souhaitez sur leurs techniques et celles des autres. N’hésitez pas , allez à la rencontre des artistes.

Cette année, Chrismali a présenté une sélection d’œuvres sur le thème de la mixité – mixité des composants – travail en plat et volume – le tickets de métro fait le lien. Vous trouverez des éléments comme les capsules d’œufs de raie, de la fibre végétale, des textiles, du papier, des papiers cousus, du fil, du fer, de la terre, des muselets de bouchons de champagne, de l’encre, de l’acrylique, des plumes, de la porcelaine faite main , des végétaux, des pierres, des perles, de la radio…

La mixité, c’est la vie !

L’art est champ de tous les possibles!

A bientôt, si le cœur vous en dit.

Voir l’article de Arts in the City sur l’exposition

Printemps Chrismaliens expo / activités

Chers amis,

Prochainement, si le coeur et les emplois du temps s’accordent, voici 2 occasions de se retrouver .

Exposition Aliz’Art du 28 au 2 avril 2022 – Espace 148 au 148 rue Paul Vaillant Couturier -94 Alfortville

Exposition du Cercle des Artistes de Paris du 30 avril au 29 mai- Parc FLoral de Vincennes -75 Paris


Exposition Aliz’Art du 28 au 2 avril 2022 – Alfortville

Lors de l’exposition Aliz’Art, » célébrons le printremps » je participe au projet collectif du groupe et présente une série de 6 tableaux réalisés en techniques mixtes – aquarelles réalisées ) partir de 3 couleurs imposées et collage tickets de métro.

C’est Viva -Vie – Envie !

Chrismali – Collage sur toile – 30*30 cm

Dans l’espace dédié à Chrismali, j’ai choisi le thème de l’eau et expose 8 tableaux réalisés entre 2020 et 2022 sur ce thème qui m’est cher. Techniques mixtes, collage et tickets de métro – aquarelle ou acrylique. C’est le bleu qui domine. L’eau c’est la vie – comme le disait déjà Saint Exupéry en 1939.

Eau, tu n’as ni goût, ni couleur, ni arôme, on ne peut pas te définir, on te goûte, sans te connaître.

Tu n’es pas nécessaire à la vie : tu es la vie.

SAINT-EXUPERY, Terre des hommes,1939

L’eau -n’appartient pas a la famille du végétal, ni de l’animal et à ce titre n’a pas le statut d' »être « .

« Eau » Qui es-tu ?

Toi qui jaillis
Toi qui es la vie
Toi qui es nous

On te capte, on te salit
On te vend au plus offrant

Eau vivante inspirante
Tu es traitée comme un objet
Une nature morte

Essentiel au vivant
Tu n’as pas de droits
Pourquoi?

Chrismali

Aliz’art a proposé à des classes de grande section de maternelle de partager leur créations sur le thème universel du printemps. C’est donc l’occasion de faire correspondre des œuvres intergénérationnelles et d’accueillir de très jeunes publics .

Une exposition colorée et gaie avec des petits enfants qui s’éparpillent comme des volées de moineaux! Voici quelques accords

Exposition Cercle des Artistes de Paris du 28 au 2 avril 2022 au – du 30 avril au 29 mai – Parc Floral – Paris 75012

L’art est ce domaine de liberté où tout est possible, sans limites. Seul le regard, conditionné à la notion du beau et des conventions limite les perceptions, les créations. Alors ouvrons les regards – élargissons le champ des possibles!

Cette année , je présente un univers composé de sculptures et tableaux. Le fil conducteur est la mixité des composants et la cohérence du grand mélange!

Végétaux, tickets de métro, petits rien , bijoux, porcelaine, papier, textile, bois, argile, petits objets du quotidien, fer seront au rendez-vous…

J’espère que vous prendrez plaisir à découvrir l’ensemble et que nous aurons la joie de nous y retrouver.

Chrismali – Cercle des Artistes de Paris – 2022

O Keeffe et Baselitz au Centre Pompidou

2 grands artistes qui ont marqué, marque leur époque .

O’Keeffe – Georgia (1887-1986)

Le Centre Pompidou présente la première rétrospective en France de Georgia O’Keeffe (1887 – 1986), l’une des plus grandes figures de l’art nord-américain du 20e siècle. L’exposition comporte une centaine de peintures, dessins et photographies de l’ensemble de son œuvre.

Dès 1916, son travail est exposé à la galerie 216, la galerie du photographe Alfred Stieglizt qui est le lieu de diffusion de l’art moderne aux Etats Unis. Georgia O’Keeffe est une femme de caractère, amoureuse de la nature, elle a mené sa carrière  et a traversé l’essentiel des aventures esthétiques américaines du siècle précédent. Dans les années 1920, elle appartient au cercle restreint des inventeurs du modernisme américain, puis participe, dans les années 1930, à la recherche identitaire qui marque les États-Unis, avant de devenir dans les années 1960 une pionnière de la peinture abstraite.

Dans l’interview présenté, elle dément le parallèle au sexe féminin interprété dans ses peintures. Elle en a certainement joué, elle qui a su adapter sa peinture à ce qu’elle aime et intéressait le monde de l’art pendant presque 90 ans .

C’est une très belle exposition pleine de couleurs, d’arrondis, de courbes ,variée dans ses sujets ou sa patte se reconnait dans ses couleurs, ses mélanges, ses fondus et dégradés subtils et ou l’abstrait se décèle dans son figuratif et inversement.

Elle disait d’ailleurs « La peinture réaliste n’est jamais bonne si elle n’est pas réussie d’un point de vue abstrait.»

J’ai vu le même jour l’exposition Baselitz – après la douceur, lumières et la sérénité qui se dégagent des peintures de Georgia O’Keeffe. Il y a comme un choc quand démarre l’exposition Baselitz.

Tout comme O’Keeffe, c’est un artiste qui a voulu prendre sa place dans le monde de l’art et qui a recherché des moyens et adaptés ses créations à sa volonté et ce qu’il souhaitait exprimer.

Georg Baselitz (1938)

Le Centre Pompidou consacre une rétrospective d’une soixantaine d’oeuvres à l’inclassable Georg Baselitz,

Baselitz  présente une peinture torturée, des oeuvres brutes, brutales.

Baselitz dit de lui-même » Je suis né dans un ordre détruit, un paysage détruit, un peuple détruit, une société détruite. Et je n’ai pas voulu réinstaurer un ordre; j’avais vu assez de soi-disant ordre. J’ai été contraint de tout remettre en question, d’être « naïf », de repartir de zéro. Je n’ai ni la sensibilité ni la culture ni la philosophie des maniéristes italiens, mais je suis maniériste au sens où je déforme les choses. Je suis brutal, naïf et gothique »

C’est un être profondément meurti par son histoire personnel et l’époque; il est né en 1938 en RDA et y étudia l’art.Il a pris le nom de la ville ou il agrandi Deutschbaselitz.  Il rejoint Berlin Ouest en 1957 peu avant que la guerre froide n’interdise de quitter la RDA.

– Pour la suite, je reprends une partie de l’article très intéressant de Felix Tardieu dans l’ « Eclaireur »https://leclaireur.fnac.com/article/42280-le-retrospective-renversante-de-georg-baselitz-au-centre-pompidou)

 « Dans une Allemagne plus divisée que jamais, il adopte le surnom de Georg Baselitz en août 1961 (au moment de la construction du Mur de Berlin), du nom de son village natal à présent de l’autre côté du mur. Prend alors forme une œuvre anticonformiste, malade, crue, qui ne tarde pas à créer le scandale, à l’instar de La Grande Nuit foutue (1962-1963), sorte d’exhumation de la figure hitlérienne contre le refoulement collectif, qui lui vaudra un procès pour atteinte à la pudeur. 

Ses toiles ne cesseront ensuite de dépeindre l’empreinte néfaste de l’idéologie sur l’individu, en représentant des corps volant en éclats ici et là, de ses autoportraits à la série des Héros. En 1969, il signe un nouveau coup d’éclat en renversant littéralement le motif de ses tableaux. Son premier tableau renversé est inspiré d’une toile de Louis-Ferdinand von Rayski, dont il reproduit le motif tête en bas. Par ce nouveau modus operandi, Baselitz ouvre la voie à de nouvelles expérimentations sur la peinture en elle-même, reléguant le motif au second plan. Ce renversement deviendra dès lors un signe distinctif de son art.

Transgression, renversement, l’identité artistique de Baselitz est là.

Dans ses œuvres plus tardives, l’artiste allemand se rapproche de l’expressionnisme abstrait, tout en entamant un travail de sculpteur qui déclenche de nouveau la polémique à l’image de Modèle pour une sculpture, présenté pour la première fois à la Biennale de Venise en 1980, dont la forme rappelle le salut nazi. A cette époque, Baselitz est un artiste internationalement reconnu. Il continue sans relâche son exploration des formes, des souvenirs, dans des tableaux de plus en plus abstraits, de plus en plus monumentaux. S’en suivra notamment le cycle Remix, entamé en 2005, où l’artiste dialogue sur la toile avec ses influences et ses propres créations. Les œuvres récentes, résolument moins provocantes, confirment un virage plus intime, centré sur soi, sur ses souvenirs d’enfance, sa jeunesse, son couple, sur les corps qui vieillissent et s’enfoncent dans l’oubli. « 

Pour en savoir plus https://www.centrepompidou.fr/fr/programme/expositions-musee

Automne artistique fantastique

Ces 2 mois écoulés ont été l’occasion de belles découvertes, d’échanges au travers de nombreuses visites de galeries, salons, ateliers, expositions.


Il y en a eu tant que j’ai décidé de vous les montrer toutes ou presque dans un seul article. Vous apprécierez sûrement l’énergie créative, la variété de l’art actuelle, on ressent de la part des artistes et commissaires d’expositions une volonté de renouveau, une présence plus affirmée de la couleur et un art qui est une ode au vivant, à la nature.
J’espère vous transmettre ces émotions.

Salon Mac Paris – de magnifiques découvertes

Salon Réalités Nouvelles – quand l’abstraction sort de son cadre et s’ouvre.

Salon de Montrouge – l’énergie créative, le parti pris de la jeune génération – les installations sont à l’honneur

Visites de galeries

Portes ouvertes de Montreuil – une foultitude d’artistes, de très belle rencontres, un climat bouillonnant d’inventivité.

Je participais aux portes ouvertes – je n’ai donc pas pu visiter nombres d’ateliers

Si vous voulez découvrir celui auquel je participais – l’univers Chrismali dans l’atelier de Françoise Darras – c’est ici

Parmi les artistes visités – j’ai tout particulièrement aimé Bence Magyarlaki et ses sculptures sensuelles, l’univers de Isabelle Bonte – De fer est mon fil, les miniatures précieuses de Christine Destours , l’exposition des brodeuses, l’oeil de Liv Mathilde Mechin et les photos et travaux de Christine Mathieu

L’exposition du centre Tignous  » A même la terre- Très belle et sensible exposition avec Valentine Abad, Yann Bagot, Edith Baudrand, Sophie Lecomte, Sidonie Rocher, Barbara Schroeder, Xavier Servas

Artcité à Fontenay sous Bois – Très beau panorama de l’art actuel

Barthélemy Toguo au PaMoCC

Barbara d’Antuono – Artiste textile – art singulier

Barbara d’Antuono – artiste textile – art singulier coup de cœur!

Plonger dans l’univers de Barbara d’Antuono, c’est entrer dans un monde africain coloré, bariolé, vivant, différent qui fait voyager . C’est aussi se régaler de l’humour de l’artiste avec ses œuvres réalisées pendant le confinement totalement actuelles et citadines.

Barbara d’Autuono est une artiste textile singulière, proche de l’art brut, elle compose une oeuvre d’un style poétique, bigarré, parfois naïf et humoristique.

Cousant à la main et ne décidant rien à l’avance, Barbara d’Antuono fait cohabiter les formes, les images et les mots créés au gré de ses envies, elle compose des histoires.

À l’occasion de la sortie de son livre Esprits vagabonds, l’artiste française Barbara d’Antuono présente une exposition à la Galerie Claire Corcia, 323 rue Saint Martin Paris – dans laquelle sont présentés ses tableaux textiles, accompagnés des textes du jeune auteur haïtien Kevin Pierre.

Barbara d’Antuono – Parcours


Barbara d’Antuono, corse d’origine italienne, quitte la France dans les années 80 pour les Antilles et la Jamaïque. C’est dans le foisonnement artistique d’Haïti, où elle reste 5 ans, qu’elle s’initie à la peinture et à la sculpture, notamment dans l’atelier du peintre haïtien Ronald Mevs. Ses premières créations seront des totems (assemblages de divers matériaux de récupération Sa rencontre avec le « Baron Samedi » et la mythologie liée au vaudou, ainsi que les éclaboussures traumatiques du coup d’état de 1986 et des exactions dont elle fut témoin, vont la précipiter dans une nécessité de dire l’indicible. Après plusieurs expositions à Haïti, elle rentre en France et développe sa propre technique, alliant sculpture, peinture, graphisme, couture, poésie et musique. Elle nourrit son travail de ses voyages, en Afrique notamment. .
Créatrice d’imaginaire, elle fait naître de ce savoureux mélange un style onirique, bigarré et parfois naïf, qui se retrouve dans toute son œuvre et qu’elle condense dans un syncrétisme baroque flamboyant où l’humour n’est jamais loin et Haïti presque toujours présent.
« Je couds comme certains récitent des mantras. Je ne décide rien à l’avance. Des images surgissent, sans cohérence particulière les unes avec les autres mais elles sont là et je ressens une urgence à leur donner corps. Coudre, suturer, refermer ces plaies, greffer un tissu sur un autre, mais aussi « broder » pour donner un sens, pour témoigner parfois de mon désir profond de réunir les deux cultures qui m’habitent ».

Expositions

Expositions, événements, parutions
Dès 1995, Barbara expose régulièrement à Paris, mais également en Allemagne, à Constance. Elle a participé à plusieurs expositions collectives, dont une en hommage Wilfredo Lam à L’Unesco.

Depuis 1998, elle deviendra une artiste reconnue de la Galerie Art Factory puis de la Galerie l’Art de Rien. Elle a exposé plusieurs fois au Lavoir moderne Parisien et très récemment à la Chapelle du Collège de Carpentras. En 2012, elle présente dans la Galerie du 59, rue de Rivoli, une exposition essentiellement consacrée au vaudou haïtien, tel un retour aux sources. Elle a exposé en juin 2013 dans le festival d’art singulier de St-Aubin lès Elbeuf.

Léon Spilliaert – Musée d’Orsay


Léon Spilliaert (1881-1946) Portrait de l’artiste par lui-même1903. Crayon graphite, encre noire et encre brune à la plume et au pinceau H. 27,4 ; L. 27,2 cm

Léon Spilliaert, peintre belge née en 1881 à Ostende, un bout du monde.

Homme d’une grande sensibilité, mélancolique, grand nerveux, lecteur de Nietzsche, écrivant des poèmes qu’il jette ensuite, il se dit né dans un monde étrange.

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Céline Achour – Rêveries d’automne

Céline Achour – peintre de contes fantastiques intimistes

J’aime beaucoup l’univers de Céline Achour. C’est une conteuse artiste peintre qui vous emporte vers d’autres espaces, d’autres temps…

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Chrismali – Expo Fatras -Galerie Espace le Marais

Chrismali – Expo Fatras -Galerie Espace le Marais


Ma deuxième exposition personnelle s’est déroulée à la galerie Espace Le Marais, petite galerie bleue située à la croisée de grands chemins, Musée Picasso, Musée Cognac Jay, Institut Finlandais, Le square Parc Royal.

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Christian Boltanski au Centre Pompidou

L’exposition- Faire son temps- Christian Boltanski

Le centre Pompidou présente une cinquantaine d’œuvres de Christian Boltanski.  L’exposition conçue par Boltanski  se présente comme une déambulation au travers ses nombreuses installations. L »exposition se nomme « faire son temps »  il est ici question de temps. L’exposition nous accueille avec son panneau départ et nous laisse avec le panneau arrivée.

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