C’est un hommage à l’art méconnu de la vannerie japonaise en bambou. Elle raconte l’histoire de la vannerie japonnaise au travers deux cents pièces réalisées en bambou; du paniers traditionnels destinés à l’ikebana jusqu’aux sculptures contemporaines, œuvres d’artistes honorés comme des « Trésors nationaux vivants ».
La vannerie artisanale se développe aux VIII et IXe siècles, en lien étroit cérémonie du thé importée de Chine.
Au départ panier utilitaire ,l’objet en bambou devient progressivement objet d’art à partir de la fin du 19èm siècle.
Des artistes comme Iizuka Rōkansai, Tanabe Chikuunsai IV, Yonezawa Jiro, ou encore Morigami Jin ont fait du bambou un véritable médium artistique.
De nombreuses vidéo illustrent le savoir faire et la créativité des artisans, artistes vanniers.
« Subtil, puissant et aérien, l’art du bambou japonais étonne le visiteur par la grande diversité de sa production, le mélange des styles et la beauté du geste et du savoir-faire. » – Extrait Dossier de presse Quai Branly.
Le bijou, un médium comme un autre. Art et bijoux singuliers
Plasticienne, créatrice de bijoux, je glisse des bijoux fantaisie vers des tableaux et sculptures fantaisistes.
J’ai décidé de continuer à réaliser des bijoux autrement, avec d’autres finalités qu’être des ornements portés.
Avec plus de liberté encore – pour le plaisir de créer , de répondre à de nouvelles envies et de les proposer en bijoux, en sculptures, en tableaux.
La mixité, c’est la vie. Avec peu, on peut faire beaucoup!
Je réalise des pêles-mêles de formes, d’objets, de couleurs multiples, où l’homme est animal, en évolution, bizarre, pas fini, ou les animaux sont inventés, où la nature est figurée; où le papier est couleur et volume, où le fil est présent et passe du volume à la couleur …. où tout est possible, superposable, combinable.
La lecture parfois n’en est pas facile, complexe, fouillis ….. tout comme la vie!
Tableaux-Sculptures
Le tableau « Le monde est fou ! La vie est belle! »
L’homme oeuvre pour son bien et son malheur. Il est aux commandes de la planète terre avec les yeux bandés tout en continuant de créer des merveilles et de vivre tous les possibles de maintenant.
Le monde est fou – multiple, complexe, désordonné, obsessionnel… La vie est belle – lumineuse, amoureuse, poétique, luxuriante, rebelle… Ce tableau est à lectures multiples, il présente plein d’histoires.
Il est réalisé sur une composition tickets de métro et intègre de nombreux éléments, des symboles de nos vies: pierre grenat, plume de paon, tissu, fil de couture, fil de fer, encre, colle, aquarelle, feutre, crayons gras, papier découpé, argile, cheval plastique, colliers, cadran de montre, bague, broches bijoux Chrismali, personnages en ticket de métro, textile et fils, chambre à air, joint, pierre serpentine, carte mémoire, vieux francs, médailles religieuses, capsule d’aile de raie, coquillage, graines, perles, corail, bois sculpté…
Les tableaux, sculptures présentés sont réalisés selon les mêmes techniques mélangeant volumes, peintures, objets quelque soit le support.
Bijoux singuliers
Ne créant que des pièces uniques à l’exception des liens, pour voir mes nouveaux bijoux au fil de leur création, je vous propose de suivre ma page instagram ou https://www.facebook.com/chrismali.fr/
Et si l’un de ces bijoux vous intéresse, contactez-moi par le biais du site ou à l’adresse mcl@chrismali.com
Ma boutique internet – plateforme Etsy ne présente qu’une petite sélection de mes créations.
N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires.
MERCI!
Je suis un homme mélangé, fait de ce qui peuple le ciel, la terre et les océans. Homme, oiseau, poisson, mes multiples origines sont mes racines et mes forces. J’ai besoin d’air, de terre et d’eau, ces richesses essentielles qu’il me faut préserver.
Art et bijoux -le-monde-est-fou-detail
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Art et bijoux -le-monde-est-fou-detail
Tu es là? Oui, pourquoi? Que faire maintenant? PENSER ET FAIRE DEMAIN. Comment? AVEC BON SENS ET SENS COMMUN.
Le Palais de Tokyo est un lieu plein de contrastes. Se côtoient le plus souvent des moments magiques et des incompréhensions.
3 thématiques affichées et une grande installation ont retenu mon attention dont une dont je peux vous dire que j’ai aimé!
Angelica Mesiti
J’ai aimé les installations sonores, le voyage sensorielle d’Angelica Mesiti. J’ai aimé sa démarche et son but. je n’ai pas fait de photos ni vidéos de ses vidéos, ce sont des moments à vivre ….. présentation galerie
Theaster Gates
Theaster Gates est un artiste protéiforme engagé, conservateur et urbaniste.
Palais de Tokyo Theaster Gates
Il est connu pour ses travaux sur l’art engagé dans le sud de Chicago, ses recherches et créations portent sur la théorie de l’espace et l’aménagement du territoire. Il utilise la sculpture, la peinture, la céramique, la vidéo, la performance et la musique, la pratique de Theaster Gates s’inspire et accompagne à la fois des projets ambitieux de rénovation urbaine par la création de centres et d’archives de la culture noire.
Gates dans un discours tenu lors de la réception d’un titre honorifique décérné par UAL (Université des Arts de Londres) explique ce que signifie être un artiste et l’importance de sa poursuite. « Je n’ai jamais été aussi confiant que d’être un artiste est l’une des plus grandes vocations du monde », a-t-il déclaré. « Vous avez la capacité de rêver et de vous battre, et ce monde a besoin de vous maintenant, plus que jamais.
L’exposition, première exposition personnelle dans un musée en France présente un projet conçu pour le Palais de Tokyo.
» Il explore les histoires sociales des migrations et des relations interraciales en utilisant un épisode précis de l’histoire américaine pour aborder les questions plus vastes de l’asservissement des Noirs ainsi que de la domination sexuelle impériale et du mélange racial qui en a résulté.
Le point de départ de l’exposition est l’histoire de l’île de Malaga, dans l’État du Maine, aux États-Unis. En 1912, le gouverneur du Maine expulsait de Malaga la population la plus pauvre, une communauté mixte interraciale d’environ quarante-cinq personnes. »…. » l’exposition invite le public à pénétrer un récit non linéaire qui combine terre, lumière, texte, danse et musique : un hommage, un rappel et une question ouverte. » extrait présentation Palais de Tokyo »
Julien Creuzet
Palais de Tokyo -julien Creuzet
» Julien Creuzet est artiste plasticien, vidéaste, performeur et poète. À travers des environnements constitués d’ensembles composites, il explore différents héritages culturels en organisant des passerelles entre les imaginaires de l’ailleurs, les réalités sociales de l’ici et les histoires minoritaires oubliées. Associant différentes temporalités et géographies, préférant l’anachronisme et la collusion à la simplicité des récits consacrés, Julien Creuzet convoque les registres du vivant et du technologique, de l’histoire et du mythe, du poétique et du politique pour déployer les histoires disparates de créatures hybrides et de zones marécageuses réinvesties et contrariées par les désirs de puissance et d’expansion de civilisations impérieuses. » extrait présentation Palais de Tokyo
Franck Scurti
Franck Scurti expose » More is less » une grande installation – réinterprétation du tableau » le Christ Jaune » de Paul Gauguin .
Palais de Tokyo – FRanck Scurti
« More is Less ne portera aucun jugement de valeurs sur la perte du sens religieux au profit d’une culture de consommation, la multiplication des pains jusqu’à leur disparition par la reproduction technique suggérera plutôt que les modèles économiques construits sur la consommation de masse aboutissent immanquablement à l’appauvrissement collectif. » Extrait du site Palais de Tokyo
Franck Scurti est né en 1965 à Lyon. Il vit et travaille à Paris.
« Les oeuvres de Franck Scurti, souvent dérivées de notre univers quotidien et domestique mais aussi de l’espace urbain, font partie de ce qu’il appelle des « éléments déjà socialisés ». La réinterprétation consiste en des recompositions et en des décalages. Le spectateur plonge dans un monde connu mais soumis aux pas de côté de l’artiste, qu’il doit donc re-décoder. » Extrait du site Palais de Tokyo
Egon Schiele – l’exposition Fondation Louis Vuitton
En souvenir de cette très belle exposition et de son talentueux artiste.
Les Oeuvres
De nombreuses oeuvres de Schiele, peintre expressionniste autrichien, ont quitté Vienne et Prague pour être exposées à la Fondation Louis Vuitton, première monographie depuis 25 ans.
L’exposition est aujourd’hui achevée.
Ce fut une très belle exposition. Les dessins et tableaux de Schiele ne laissent pas indifférent. Ce sont des dessins forts, des choix audacieux. Nus et portraits sont ces principaux sujets. L’œuvre de Schiele occupe également une place essentielle dans l’histoire des relations entre art et érotisme.
Certains de ses nus prennent des poses explicites, le sexe est montré. En 1911, à 21 ans, l’artiste a aussi traité le thème de la masturbation féminine et masculine dans ses œuvres.
J’ai beaucoup aimé la grande sensibilité, l’intimité dévoilée, une certaine fragilité qui se dégagent de ses aquarelles, de ces personnages souvent décharnés aux mains et pieds si particuliers.
Ces tableaux de paysages principalement des huiles sont magnifiques.
L’homme, l’artiste
Schiele est né en 1890 en Autriche, il a été marqué par la mort d’une de ses 2 soeurs et surtout par celle de son père qui visitait les maisons closes et est décédé des suites de maladies vénériennes ( reportage Arte … fort intéressant).
Il était très proche de son autre sœur qui fut son modèle dans sa jeunesse.
Il entre à l’Académie des beaux-arts de Vienne qu’il décide de quitter rapidement car il ne supporte pas la tutelle académique de ses maîtres.
En 1907, il rencontre Klimt âgé alors de 45 ans qu’il admire. Dès 1909, il participe à l’Exposition internationale des Beaux-Arts à Vienne.
A ses débuts, Schiele reste proche du Jugendstil (nom donné au mouvement « Sécession » en Allemagne) puis prend ses distances. Il adhère en 1911 au groupe Sema de Munich, auquel appartiennent déjà Paul Klee et Alfred Kubin.
Il rencontre, en 1911, une jeune femme à la réputation sulfureuse, Wally Neuzill , déjà modèle de Klimt, qui devient son propre modèle et sa compagne et ils s’installent aux environs de Vienne.
La population n’apprécie pas son art; la profusion des dessins à caractère érotique de Schiele, couplée à des soupçons de détournement de mineurs à son encontre, conduisent à son arrestation en 1912. Il passe vingt et un jours en détention provisoire.
Dès 1913, la renommée de Schiele s’accroît progressivement hors d’Autriche. A cette période , il quitte Wally.
En 1915, il épouse Edith Arms . Il est également dispensé du service armé, et fait son service de guerre dans l’administration. Il peut ainsi continuer de peindre, et d’exposer en Autriche, Allemagne, et Scandinavie. Une période moins tourmentée de sa création démarre.
En février 1918 Klimt décède, c’est lui qui se charge de l’organisation de la 49 ième l’exposition de la Sécession viennoise. L’exposition rencontre un franc succès : une part importante de ses œuvres est vendue, et Schiele obtient de nombreuses commandes.
En Octobre, sa femme meurt de la grippe espagnole qui fait des ravages * et il décède 3 jours plus tard âgé de 28 ans.
L’artiste aura réalisé en une dizaine d’années quelque trois cents toiles et plusieurs milliers de dessins.
* En Europe, la grippe espagnole fit environ 2,3 millions de morts, soit 0,5 % de la population et 2,5 à 5 % à l’échelle de la population mondiale – selon Wikipédia
L’artiste portugais Bordalo II dénonce la pollution en transformant les ordures de déchets plastiques principalement en œuvres d’art. Le résultat est aussi original que spectaculaire.
Et, c’est dans un espace brut de 700 m2 au 10-12 avenue de France dans le 13 èm arrondissemnt de Paris que la galerie Mathgoth présente présente jusqu’au 2 mars une trentaine d’œuvres, principalement des sculptures d’animaux menacés d’extinction.
Casque de moto usé, tuyaux en plastique, vieux pneu ou chaise cassée… avec Artur Bordalo, le street art sort les poubelles. L’artiste portugais, connu sous le nom de Bordalo II recycle en effet les ordures qui encombrent la ville pour les assembler en de grandes sculptures colorées accrochées aux murs.
Il met l’accent sur les conséquences désastreuses de la surconsommation et la course au toujours plus de nos sociétés.
L’artiste
BORDALO « Segundo » est un artiste incontournable du Street Art international. L’artiste est né en 1987 à Lisbonne. Il signe ses oeuvres Bordalo II en hommage à son grand père, le peintre Arthur Real Bordalo qui l’ a initié à la peinture.
Au sujet de cette exposition, l’artiste militant explique que « La terre est notre maison, notre habitat, où nous mangeons, où nous respirons. Il n’y a aucun moyen de séparer la façon dont nous prenons soin de l’environnement de la qualité de vie des humains, ou de la vie elle-même. J’utilise mon travail pour communiquer des idées, des craintes et des prises de conscience sur les problèmes mondiaux auxquels nous sommes confrontés : réchauffement et changements climatiques, extinction massive, déforestation, pénurie d’eau, pollution, etc. Paris est le terrain de jeu parfait pour partager mes nouvelles créations, concepts et idées. »
Et l’exposition plait et remporte un grand succès — que des points rouges sur la liste des oeuvres!
Grayson Perry, artiste anglais, performer, engagé et populaire présente à l’Hôtel de la Monnaie » vanité, l’identité et sexualité »
J’ai adoré cette exposition. Un artiste vivant populaire qui dit des choses, travaille dans de nombreuses directions, fait le show et est reconnu pour son travail, ses positions, son auto-dérision.
Peu connu en France, une célébrité en Angleterre, Il expose pour la première fois à Paris . C’est à l’hôtel de La Monnaie (jusqu’au 3 février 2019).
Il s’exprime à travers la céramique, le métal, la gravure, la tapisserie de grand format et ses performances, show qu’il réalise pour ses expositions et autres manifestations.
Ses œuvres questionnent sur des sujets universels tels que l’identité, le masculin et le féminin, la classe sociale, la religion et le sexe. Elles fourmillement d’informations.
La surface de ses vases, classiques dans leur forme, révèle un monde bouillonnant où se mêlent références historiques et contemporaines.
il dit : « Mon travail et de noter des choses ce que les autres ne notent pas et d’amener ces choses dans la clarté de la conscience. Mon ambition est d’accroître l’intérêt des gens pour l’art sans abâtardir partir celui-ci ».
C’est un artiste qui travaille seul, sans une petite ou moyenne entreprise avec lui comme c’est le cas de nombreux artistes contemporains connus.
C’est également un travesti.
» Il s’habille en femme parce qu’il aime ça. Il le fait depuis qu’il a commencé, à douze ans, à emprunter les robes de sa sœur. Même si ça lui pose quelques problèmes, dit-il, pour arriver à ce qu’on le prenne au sérieux en tant qu’artiste. Encore que, ça aussi ça le réjouit. Et « c’est très bon pour la pub », s’esclaffe-t-il.
C’est donc en Claire, son alter ego féminin, qu’il a présenté à la presse son exposition à la Monnaie de Paris. Il s’agit de la première grande exposition à Paris d’un artiste célèbre au Royaume Uni, où il a reçu le Turner Prize pour ses céramiques en 2003 et où il a fait des séries d’émissions télé abordant tous les thèmes qui lui sont chers, l’identité, la masculinité, la sexualité, le (bon et mauvais) goût, les classes sociales.
C’est plein d’humour (anglais) et d’auto-dérision qu’il aborde ces thèmes des plus sérieux. Et, étrangement, malgré le kitsch de son accoutrement, on l’oublie très vite tant l’ensemble paraît du plus grand naturel. Il passe son temps à égratigner les bourgeois, intellectuels bien-pensants (de gauche), le milieu de l’art, catégories dans lesquelles il s’inclut bien sûr. C’est un grand showman, d’ailleurs il dit en riant que son nouveau projet, c’est de faire du stand up. » Extrait de l’article culture Box du 18/12/2018
Homme aux multiples identités, il est également le recteur de la prestigieuse Université des Arts de Londres « UAL » qui inclue les écoles de modes « Central Saint Martins et « London College of Fashion »
Le salon Art et Liberté de Charenton pour sa 66 ème édition présente comme invité d’honneur 2 artistes vivants, peintres du mouvement et de la couleur présentant des univers libres, abstraits, Benoit Gilardoni et Véronique Lafont.
Ses 2 artistes ont des axes de recherches allant dans les mêmes directions. Calme et énergie cohabitent, leurs œuvres permettent à l’ imagination tout un monde de possibles.
J’ai aimé le travail de Véronique Lafont pour l’ensemble des tableaux présentés.
Ses œuvres dégagent une énergie et une joie communicative. Elle pratique une peinture où la nature est suggérée dans un labyrinthe de lumière et de couleurs avec des rehauts de traits spontanés, répétitifs et intuitifs.
Chez Benoit Gilardoni, j’ai apprécié ces petits formats suggérant des paysages travaillés comme des collages.
A leurs côtés,un grand nombre d’artistes sont présentés. Ici se côtoie tout type d’art, et d’artistes. Frédéric Mette, le commissaire d’exposition sait faire cohabiter les arts et permet aux visiteurs une immersion artistique emplie de découvertes.
Je participe à cette exposition avec 2 sculptures de ma série des petits mondes.
Les voici
Comme un escargot – Chrismali
La-grande-volière – Chrismalli
Parmi les nombreuses œuvres , j’en ai capturé certaines.
Paula Rego est une artiste plasticienne portugaise née à Lisbonne en 1935.
En 1958 elle reçoit une bourse de la Fondation Gulbenkian qui lui permet de vivre à Londres, elle est alors la seule femme à faire partie du groupe de l’école de Londres où elle côtoie Francis Bacon ,Lucien Freud et David Hockney.
En 1990 elle devient artiste associée à la National Gallery de Londres. En France, elle tarde à être connue, ses créations sont présentés en 2008 à Nîmes puis en 2012 à Paris et en 2018 au musée de l’ Orangerie.
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Elle aime les dessinateurs comme Daumier Granville Benjamin Rabier, elle reprend les ouvrages classiques de la littérature enfantine notamment ceux de la Comtesse de Ségur et elle réalise des illustrations, de comptines britanniques pour enfant très populaire elle réalise une série de gravure à l’eau forte et aquatinte qui fait ressortir la cruauté et la perversion souvent sous-jacente dans les contes pour enfants ainsi qu’une forme de fantastique poétique.
Elle s’inspire également des œuvres d’Odilon Redon, Francisco de Goya ,
L’art de Paula rego a été décrit en 2018 par Philippe Dagen critique d’art et romancier français publiant dans le journal le Monde comme » profondément scandaleux chargé de sous-entendus sexuels irrespectueux de tout d’essence crûment satiriques est susceptible de susciter dans l’esprit du spectateur de très mauvais rêves ».
2019, une année pimentée!
Qu’elle apporte clairvoyance, empathie et amour pour rêver demain et trouver les clefs d’un nouveau vivre ensemble.
Que la poésie soit présente. Qu’elle se dise, se diffuse. La poésie parle de l’essentiel, de l’amour, la vie, la nature, la préservation des équilibres, les choses simples …………..
A chacun de trouver ce qui sonne à son cœur!
Voici une bonne année d’enfant– poésie de Rosemonde Gérard
– La participation à l’exposition du Cercles des Artistes de Paris au parc Floral, Le prix spécial du Jury m’a été décerné – pour une travail autour du ticket de métro sur le thème de l’enchevêtrement mêlant dessins, peintures, sculptures et textes.
Univers Chrismali Expo du Cercle des Artistes de Paris au Parc Floral
-Organisation d’une activité artistique aux Grands Voisins dans le cadre du Troc-Shop – la boutique solidaire -fonctionnant avec un paiement en ticket de métro
De nombreux articles sur des expositions vues, des coups de cœur et activités et rencontres. 32 articles cette année et 210 depuis la création du blog….
Ce blog est un moyen d’échange avec vous, n’hésitez pas à me laisser vos commentaires et me faire part de vos coup de cœurs.
L’exposition Art brut japonais présente les œuvres d’une cinquantaine de créateurs. Ces personnes souvent confrontées à un isolement mental ou social, utilisent toutes techniques et tous matériaux.
Il est aujourd’hui difficile de différencier l’expression de ces artistes de celles d’artistes développant une voie « brute » empreinte de techniques mixtes, travaillant en série parfois également de manière compulsive.
L’art est une technique libératoire d’expression plus ou moins vital en fonction des individus.
Cependant les œuvres présentées dans cette exposition sont celles issues de personnes souffrant d’incapacités ou de dysfonctionnements intellectuels. Certains créent dans des ateliers protégés, d’autres sont autonomes.
« …. ils semblent à mille lieues de se préoccuper du regard des autres, du public, de la critique ou du marché. Ils créent pour eux-mêmes….
…. Il y a un véritable attrait au Japon pour l’art qui naît dans les marges. Actuellement, la prospection se fait surtout dans le monde du handicap car elle correspond à une volonté politique de donner plus de reconnaissance sociale aux handicapés » , explique Martine Lusardy, conservatrice du musée et commissaire de l’exposition.
C’est la deuxième exposition consacrée à l’art brut du japon. Ici de nombreux artistes sont des jeunes nés dans les années 1980-1990.