Art contemporain, art brut, art textile… art d’aujourd’hui… expositions et artistes. Art city guide principalement à Paris. L’art est multiple -Panorama non exhaustif – un certain regard
Voici en vidéo la visite des portes ouvertes, aujourd’hui terminées
Portes ouvertes Montreuil Chrismali
Les 8,9 et 10 Octobre ont lieu les portes ouvertes de Montreuil, l’occasion d’aller à la rencontre de nombreux artistes mais également de voir Montreuil de l’intérieur et faire de nombreuses découvertes.
Montreuil est vaste. C’est une ville de contrastes, de grandes mixités.
A Montreuil, il y a des friches, de grands jardins cachés, des pavillons, des centres commerciaux, des usines, des ateliers d’artisans, des grands ensembles, de nombreux immeubles, des populations différentes, beaucoup d’enfants, de très nombreux artistes ( 800 artistes référencés aux Portes ouvertes) et partout l’art et l’énergie créative sont palpables.
Les portes ouvertes sont l’occasion de découvrir cette grande richesse et de plonger dans l’art.
Françoise Darras dans son atelier
Vous connaissiez son ancien atelier, lieu emprunt d’odeurs et d’histoires , les portes ouvertes des ateliers d’artistes de Montreuil sont le moment de découvrir le nouvel atelier de Françoise Darras ainsi que ses créations récentes.
Le bestiaire de Françoise Darras – dite Fanfan – s’agrandit d’années en années; chat, chien, éléphant, araignée, singe, moustique, girafe, crabe, hérisson…
Le trait commun est bien sûr sa technique particulière du travail du métal, la dinanderie et les pièces patinées vieillies par le temps qu’elle récolte, soude et transforme en animal tendre, coquin. Dans ses pièces, on décèle son amour des bêtes.
Fanfan m’a invitée et me prête le temps de ce grand week-end son bel atelier.
Je présente des travaux récents en volume et des tableaux, dessins où le ticket de métro joue la couleur et le rythme ainsi que des sculptures réalisées à partir d’éléments de la nature et du quotidien.
Participe également à l’aventure Au Painting https://www.instagram.com/aupainting/ Il travaille le plus souvent au posca et réalise des œuvres très graphiques.
La musique et le chant seront au rendez-vous du vernissage le samedi 9 octobre à partir de 18h : René Miller, guitare, jazz et Patz, accordéon, chants d’amour et de liberté
Patz https://www.facebook.com/patriziah Lorsqu’elle n’est pas en spectacle , elle peint voici quelques œuvres de son travail que j’ai découvert récemment et que j’aime beaucoup.
Spot 13, c’est à la fois un lieu en friche, un chantier dans le 13èm arrondissement de Paris, une galerie éphémère à ciel ouvert dédiée au street-art, une association, des partenariats et événementiels.
Un lieu
Spot 13 c’est le nom d’un lieu aujourd’hui reconnu comme galerie éphémère du street art dans le 13 em arrondissement de Paris allée PARIS -IVRY.
Ici se côtoient graffs engagés, fresques géantes, street art figurative ou lettrage , oeuvres collaboratives.
Avant qu’il se nomme Spot 13, ce lieu était déjà bien connu des graffeurs depuis des années. Il est dépuis mars 21 géré par l’association Spot 13 avec comme président Joko, ancien de la galerie Lavo/Matik et graffeur qui est à l’initiative de la transition d’un site abandonné, terrain vague vers un site organisé, fréquentable et ouvert à tout public.
Le site de Spot 13 est situé au niveau du 48 allée Paris Ivry 75013 Paris, ce sont 4 « salles » en soubassement , réparties sous les rails du tram T3a et un espace libre, une friche attenante où Joko a l’habitude d’organiser des barbecues géants , moments de rencontres, d’échanges entre street artistes et autres invités.
Aujourd’hui c’est un espace de liberté où se croisent des riverins, des passants, des amateurs d’art, des street-artistes, des danseurs, des réalisateurs de clip…
Msieubonheur, Elgee, Andrew Wallas, Move, les deux frères de Ensemble réel, Petri, PESCA 2AC, Djalouz, dirtysix6, ou encore S7T RBZ et également des pochoirs de SE BD, KRISTX, Fred Zag, Raf Urban, C+S, The end of animals, petite poissone
Spot13
Spot13 – environnement
Galerie éphémère du street-art
Spot 13, c’est la confrontation de tout ce qui se pratique comme expression sur mur, barrières, barricades. Se côtoient des oeuvres de toutes tailles, du street art figuratif au tags, des œuvres de jeunes débutants autorisés, d’artistes de renoms invités. Les artistes souhaitant participés doivent en faire la demande, certains éspaces, de manières non officielles sont résevées comme des zones pour l’expression , les tags et graffitis sauvages. « il en faut pour que les taggeurs en besoins d’expression puissent le faire sans recouvrir les oeuvres d’autres artistes » explique un membre de l’association Spot 13, à une passante qui l’interroge sur « les gribouillis » des barricades.
Parmi les artistes connus, dont les fresques seront peut être encore là quand vous viendrez découvrir l’endroit, on peut citer ;
Joko réalise la « direction artistique » de cet espace en choisissant des artistes aux univers différents et aux styles complémentaires, les femmes y sont bien représentées. Ce dernier veille à la préservation des œuvres quotidiennement, « j’ai des antennes partout », rigole-t-il. Et pour le moment, c’est pari réussi : les fresques tiennent dans le temps sans être recouvertes par des personnes extérieures au projet.
Spot 13 – Les grandes fresques – quelques pochoirs
Spot 13, c’est une association et un pari sur l’avenir, une volonté de faire cohabiter art, population, espace en mutation et de contribuer au meilleur équilibre dans l’intérêt de tous.
C’est donner au street art une galerie à ciel ouvert accessible à tous librement et la gérer.
C’est une expérience rare, un lieu rare ou il est permis d’être.
Spot 13, c’est aussi une association dont les membres sont des passionnés de street art, bien souvent graffeur ou taggeur; ils gèrent le site , choisissent les artistes et la durée d’exposition des œuvres peintes (d’environ 10 jours à quelques mois ). permettant aux artistes d’être vu et soutenus dans leurs projets.
L’association favorise la diffusion du street art auprès de tous public, proposant des animations auprès des jeunes publics et des évenementiels ciblés.
Les membres assurent une présence régulière sur le site afin d’accueillir visiteurs et artistes et » jeter un oeil » !
Spot13 Joko
Le choix du nom « Spot 13 »
Je vous délivre ici, les explications de Joko
13 c’est bien sûr la référence au 13èm, lieu du site et également de naissance de Joko, mais pas que – Cela fait aussi sens avec l’inconnu et le mystère existant autour du chiffre 13. Le mot spot – c’est le lieu 13, la chambre 13, les activités en dessous du périphérique, celles qu’on ne connait pas.
Et à y regarder de près, on peut voir que le chiffre 13 est penché. » Rien n’est acquis, c’est l’éphémère du street art. Place aux suivants! Spot 13, un lieu qui bouge!
Merci beaucoup Joko pour cet échange et longue vie à Spot 13 et aux multiples projets en cours et à venir!
Des partenariats
Des partenariats se nouent avec les associations et entreprises voisines afin que cette zone vive dans le respect de valeurs sociales et écologiques.
Ateliers 21 (laboratoire citoyen qui lutte pour (faire avancer) la transition énergétique et créateur du SolarSoundSystem ),
un espace de coworking ,
une école d’architecture,
Plateau Urbain ( coopérative d’urbanisme transitoire, qui propose la mise à disposition d’espaces vacants pour des acteurs culturels, associatifs, et de l’économie sociale et solidaire) et qui permet l’utilisation des lieux.
Sans oublier, le soutien de la Marie du XIII arrondissement qui a fait le choix de promouvoir le street art dans tout l’arrondissement avec l’implantation de nombreuses fresques murales gigantesques et s’affiche comme l’arrondissement street art de Paris.
Pour contacter Spot13 ,
rendez-vous sur place au 48 allée Paris Ivry ,75013 Paris
Pour la reprise de la vie culturelle , plonger dans l’exposition « Elles font l’abstraction » a été un bonheur.
Se retrouver dans le ciel de Paris à Beaubourg, puis déambuler et découvrir un nombre incroyable d’artistes femmes inconnues pour la plupart et provenant de tous pays, cela fait un bien fou!
Ce n’est pas tant les œuvres prises une par une, à l’exception d’une poignée qui ont rendu ce moment inoubliable, c’est la force de ces inconnues.
Elles se sont introduites par le biais des arts connexes comme les arts décoratifs, en particulier l’art textile, l’art médiumnique , la danse, les performances, la photographie, dans le milieu très fermé de l’art – masculin. Elles ont ouvert la voie à d’autres femmes artistes.
Cette exposition se déroule sur une période qui va de la fin du 19 èm siècle aux années 1980. Elle présente les artistes comme des actrices, co-créatrices de l’histoire de l’abstraction.
J’ai fait de nombreuses photos pour ancrer ces découvertes. Finalement, j’ai décidé de vous en montrer beaucoup – l’exposition présente une centaine d’artistes et plus de 500 oeuvres . Je pense y retourner tellement cette exposition était vaste et riche d’informations.
Bonne visite!
Elles font l’abstraction
Elles font l’abstraction
Sonya Delaunay Terp
Lotte Jacobi
Elsa Thieman
Florence Henri
Ruth Asawa
Hedda Sterne
Claire Falkenstein
Georgia O’Keeffe
Apita Singh
Atsuki Tanaka et Wook Kyung Choi
Pour la peinture qui m’a le plus touchée, la grande œuvre collective des aborigènes APy j’ai trouvé un éloge argumenté et enthousiaste que je vous délivre.
« Quelle joie de voir cette œuvre collaborative féminine, magistrale et sublime des artistes du APY land, au sein du Musée Pompidou à Paris, dans le cadre de l’exposition qui vient de s’ouvrir : « Elles font l’abstraction ».Ces femmes incroyables écrivent une page de l’histoire de l’art, et résonnent à travers le monde comme ici en France dans un des plus grands musées d’art moderne et contemporain.Merci à la collectionneuse Bérengère Primat de la Fondation Opale en Suisse, et à la formidable démarche des centres d’art du APY land d’avoir rendu tout cela possible.D’un format de 550 x 290 cm, cette œuvre prestigieuse de 2018 a été réalisée par 26 femmes dont de nombreuses artistes souvent exposées à la galerie à Bruxelles. C’est tellement émouvant de les retrouver au Musée Pompidou, dans mon pays natal.Elles y évoquent dans cette peinture avec force, énergie, ancrage, à quel point « La loi des femmes est vivante sur nos terres » (Nganampa mantangka minyma tjutaku Tjukurpa ngaranyi alatjitu), en cristallisant sur la toile l’histoire des Septs Soeurs aux Temps du Rêve.Musée Pompidou – Paris : « Elles font l’abstraction ».Du 19/05/2020 au 23/08/2020https://www.centrepompidou.fr/…/agenda/evenement/OmzSxFvFondation Opale : « Breath of life »Du 13/06/2021 au 17/04/2022https://www.fondationopale.chFondation OPALE«
Juste avant le 3ième confinement, j’ai visité l’exposition « Field of the Cloth of Gold », une exposition de quatre nouvelles peintures monumentales d’Anselm Kiefer accompagnées d’une vingtaine d’autres oeuvres.
Pénétrez l’univers d’Anselm Kiefer est toujours pour moi un moment magique, un cadeau. Ce fut le cas avec cette exposition et cette première visite à la galerie Gagosian du Bourget. Elle est située à quelques blocs du Musée de l’Air et de l’Espace tout proche de l’aéroport. Le nouveau centre d’ art contemporain de Larry Gagosian d’une surface de 1650 m2 permet d’accueillir des oeuvres monumentales. C’est un ancien atelier industriel des années 1950, un long bâtiment de 9 travées avec une toiture en dents de scie transformé en 2012 par Jean Nouvel.
Les oeuvres de Kiefer m’inspirent souvent calme , réflexions sur le monde tout en mettant l’accent sur le rapport à la nature et à la terre; nature soumise, transformée, malmenée et renaissante. Son œuvre est empreinte de références littéraires et historiques.
« Ainsi le titre de l’exposition « Field of the Cloth of Gold » fait référence au sommet de paix historique entre les rois Henry VIII et François 1er qui s’est tenu il y a cinq-cents ans au beau milieu d’un champ, dans ce qui est désormais le Pas-de-Calais. La réunion, centrée autour d’une alliance stratégique entre l’Angleterre et la France, avait pour but de proscrire la guerre entre les nations chrétiennes. Cette alliance est considérée comme un événement fondateur du façonnement de la géopolitique européenne – jusqu’à ce qu’elle soit dissoute et que la guerre éclate, un an plus tard. Bien que Kiefer n’ait pas commencé à concevoir ces œuvres en ayant cet événement ou même ce titre à l’esprit, la connexion devint évidente et simultanée à leur achèvement. Comme il l’a déclaré récemment dans une interview, « le titre souvent n’est pas une explication de l’œuvre » mais plutôt « une allusion ». L’histoire est l’un des médiums qu’il utilise et synthétise dans son œuvre, « comme l’argile pour le sculpteur et la couleur pour le peintre. » » extrait de Alain Truong blog
Je vous souhaite de pouvoir faire cette visite et de profitez de l’intimité des vastes toiles et livres de Kiefer.
Pour continuer avec Anselm Kiefer, cet artiste que je poursuis lorsque je le peux – depuis que je l’ai découvert à l’ancienne galerie Yvan Lambert du Marais -je vous propose de consulter mes articles précédents.
Cela fait du bien de découvrir des oeuvres qui vous parlent, des artistes qui expérimentent – des galeries qui vous sortent de la morosité ambiante – bref de se nourrir d’art ! Paris est riche de galeries qui s’offrent à vous! Si vous le pouvez – profitez en.
En ce mois de janvier, j’ai eu envie de me « remplir »d’art » de sortir et bouger dans Paris, de contre carrer la morosité ambiante.
Une immersion dans l’art , c’est entrer dans la création, la surprise, l’émotion – c’est la vie !
Voici un pêle-mêle de mes belles découvertes, certaines sont des coups de cœurs. Faites moi part des vôtres- échangeons!
Expo Galeries, en janvier, j’ai aimé
Les 30 ans de la grande galerie Thaddeus Ropac de Pantin – 93 – jusqu’au 26 juin – Œuvres de Anselm Kiefer ( voir articles précédents 1 , 2 , 3 ) , Andy Wharhol, Joseph Beuys, Tony Cragg, Antony Gormley, Yan Pei Ming, Alex Katz, Gerhard Richter, Robert Rauschenberg, Georg Baselitz, Robert Longo, David Salle, Adrian Ghenie, Sturtevant …
Et tout proche de l’exposition Jann Voss, dans l’autre Galerie Lelong – 13 rue de Téhéran , vous pourrez découvrir une exposition des récentes peintures de David Hockney » ma Normandie » – une immersion dans la nature, le vert tendre – la douceur…
David Hockney- ma Normandie
La découverte de Barbara d’Autuono – Galerie Claire Corsia – 323 rue Saint-Martin- 75003 jusqu’au 27/02/21 – voir article dédié
Expo Galeries Marais
Maxime Duveau à la galerie Backslash – 29 rue Notre-Dame de Nazareth-75003 – Une très belle exposition d’un artiste -créateur d’univers par le dessin , jouant le noir et blanc mêlant la ville et la nature, la répétition des motifs et leur renouvellement .Exposition terminée.
MAXIME DUVEAU
Galerie Perrotin -76 rue de Turenne- 75003 – 3 artistes Hernan Bass, ¨Peter Vermeersch, Johan Creten – Exposition terminée
HERNAN BAS
JOHAN CRETEN
PETER VERMEERSCH
Galerie Richard – 74 rue de Turenne-75003 avec la découverte de l’artiste Kiyoshi Nakagami et également une très belle expo photos
Kiyoshi Nakagami
Expo Galerie Bastille
Galerie Univer – NoriKo Fuse un travail tout en délicatesse, collage, dessin, peinture et aquatinte – jusqu’au 6 mars
Sylvie de Meurville – travail sur les cours d’eau – représentation topologique artistique utilisant métal découpé , peinture , photo, installation – exposition jusqu’au 6/2/21
Barbara d’Antuono – artiste textile – art singulier coup de cœur!
Plonger dans l’univers de Barbara d’Antuono, c’est entrer dans un monde africain coloré, bariolé, vivant, différent qui fait voyager . C’est aussi se régaler de l’humour de l’artiste avec ses œuvres réalisées pendant le confinement totalement actuelles et citadines.
Barbara d’Autuono est une artiste textile singulière, proche de l’art brut, elle compose une oeuvre d’un style poétique, bigarré, parfois naïf et humoristique.
Cousant à la main et ne décidant rien à l’avance, Barbara d’Antuono fait cohabiter les formes, les images et les mots créés au gré de ses envies, elle compose des histoires.
À l’occasion de la sortie de son livre Esprits vagabonds, l’artiste française Barbara d’Antuono présente une exposition à la Galerie Claire Corcia, 323 rue Saint Martin Paris – dans laquelle sont présentés ses tableaux textiles, accompagnés des textes du jeune auteur haïtien Kevin Pierre.
Barbara d’Antuono – Parcours
Barbara d’Antuono, corse d’origine italienne, quitte la France dans les années 80 pour les Antilles et la Jamaïque. C’est dans le foisonnement artistique d’Haïti, où elle reste 5 ans, qu’elle s’initie à la peinture et à la sculpture, notamment dans l’atelier du peintre haïtien Ronald Mevs. Ses premières créations seront des totems (assemblages de divers matériaux de récupération Sa rencontre avec le « Baron Samedi » et la mythologie liée au vaudou, ainsi que les éclaboussures traumatiques du coup d’état de 1986 et des exactions dont elle fut témoin, vont la précipiter dans une nécessité de dire l’indicible. Après plusieurs expositions à Haïti, elle rentre en France et développe sa propre technique, alliant sculpture, peinture, graphisme, couture, poésie et musique. Elle nourrit son travail de ses voyages, en Afrique notamment. . Créatrice d’imaginaire, elle fait naître de ce savoureux mélange un style onirique, bigarré et parfois naïf, qui se retrouve dans toute son œuvre et qu’elle condense dans un syncrétisme baroque flamboyant où l’humour n’est jamais loin et Haïti presque toujours présent. « Je couds comme certains récitent des mantras. Je ne décide rien à l’avance. Des images surgissent, sans cohérence particulière les unes avec les autres mais elles sont là et je ressens une urgence à leur donner corps. Coudre, suturer, refermer ces plaies, greffer un tissu sur un autre, mais aussi « broder » pour donner un sens, pour témoigner parfois de mon désir profond de réunir les deux cultures qui m’habitent ».
Expositions
Expositions, événements, parutions Dès 1995, Barbara expose régulièrement à Paris, mais également en Allemagne, à Constance. Elle a participé à plusieurs expositions collectives, dont une en hommage Wilfredo Lam à L’Unesco.
Depuis 1998, elle deviendra une artiste reconnue de la Galerie Art Factory puis de la Galerie l’Art de Rien. Elle a exposé plusieurs fois au Lavoir moderne Parisien et très récemment à la Chapelle du Collège de Carpentras. En 2012, elle présente dans la Galerie du 59, rue de Rivoli, une exposition essentiellement consacrée au vaudou haïtien, tel un retour aux sources. Elle a exposé en juin 2013 dans le festival d’art singulier de St-Aubin lès Elbeuf.
Les galeries sont ouvertes – Entrez dans la couleur – 2 expositions collectives – immersion africaine
Paris est riche par ses galeries. Dans le quartier du Marais, Paris 3, vous trouvez tant et tant de galeries et de créations que tout ne peut être vu. En cette période, mon choix s’est arrêté sur la couleur, la vibrance, et j’ai pénétré 2 galeries; une 7 rue des Filles du Calvaire – Galerie 193 et l’autre un peu plus loin – proche Bastille, 27 rue Keller, la Galerie ART Z anciennement Dorothy Galery.
Ces 2 galeries présentent actuellement la vitalité de l’Art Africain. Elles ont fait le choix d’exposer nombreux artistes. je vous invite à une immersion dans la couleur, la créativité, le mouvement que ce soit en photos – Galerie 193 ou tout médium – Galerie Art Z.
Léon Spilliaert (1881-1946) Portrait de l’artiste par lui-même1903. Crayon graphite, encre noire et encre brune à la plume et au pinceau H. 27,4 ; L. 27,2 cm
Léon Spilliaert, peintre belge née en 1881 à Ostende, un bout du monde.
Homme d’une grande sensibilité, mélancolique, grand nerveux, lecteur de Nietzsche, écrivant des poèmes qu’il jette ensuite, il se dit né dans un monde étrange.